Etrecevoir ces deux menteurs d’un même front, Si tu peux conserver ton courage et ta tête, Quand tous les autres les perdront, Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire. Seront à tous jamais tes esclaves soumis, Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire. Tu seras un homme mon fils. Rudyard Kipling.
Si, en anglais If —, est un poème de Rudyard Kipling, écrit en 1895, et publié en 1910 dans Rewards and Fairies. André Maurois l’a adapté dans son livre Les Silences du colonel Bramble publié en 1918 sous le titre Tu seras un homme, mon fils. Soucieux de maintenir la pureté de la langue et de rester fidèle au sens plutôt qu’à la lettre des textes, Maurois a écrit une version se composant de vers parfaitement réguliers et sans rime approximative qui reprend l’idée fondamentale du poème de Kipling tout en ne traduisant directement que quelques vers. Le 14 juin 1940, Paul Rivet placarde le poème sur les portes du musée de l’Homme à Paris, en signe de résistance à l’occupant allemand. La traduction ou réécriture par André Maurois de ce poème a été chantée par Bernard Lavilliers en 1988 dans son album intitulé If. [sources Wikipedia En français Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir ; Si tu peux être amant sans être fou d’amour, Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre, Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre ; Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles Sans mentir toi-même d’un mot ; Si tu peux rester digne en étant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les rois, Et si tu peux aimer tous tes amis en frère, Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ; Continuer la lecture de Tu seras un homme, mon fils If — Rudyard Kipling → Citoyenneté, Écologie et Solidarité à Sainte-Foy-lès-Lyon
Quireflète tout l’amour que je porte pour toi. Pleine de joie de vivre, tu sèmes le bonheur. Sur l’arbre de ma vie ton amour grandi. En attendant de te voir, je pense toujours à toi. Tu vis pour me combler et toute te donner. C’est l’amour qui éclaire ton jour d’anniversaire.
Ce poème est célèbre, ne serait-ce que par son titre.“Tu seras un Homme, mon fils”, bien qu’écrit en 1910 par Rudyard Kipling, reste d’actuali souhaite le partager avec pas à écrire dans les commentaires, ce qu’il t’inspire. Tu seras un Homme, mon fils – Rudyard Kipling Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou, perdre d’un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir ; Si tu peux être amant sans être fou d’amour, Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre Et, te sentant haï sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre ; Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leur bouche folle, Sans mentir toi-même d’un seul mot ; Si tu peux rester digne en étant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les rois Et si tu peux aimer tous tes amis en frère Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ; Si tu sais méditer, observer et connaître Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ; Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître, Penser sans n’être qu’un penseur ; Si tu peux être dur sans jamais être en rage, Si tu peux être brave et jamais imprudent, Si tu sais être bon, si tu sais être sage Sans être moral ni pédant ; Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite Et recevoir ces deux menteurs d’un même front, Si tu peux conserver ton courage et ta tête Quand tous les autres les perdront, Alors, les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront à tout jamais tes esclaves soumis Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire, Tu seras un Homme, mon fils !
Situ peux voir détruit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et
Rudyard Kipling Né à Bombay, Rudyard Kipling sera toute sa vie tiraillé entre deux identités celle de son enfance indienne et celle de son douloureux départ pour l'Angleterre. Cette nostalgie sera pourtant ... [+] Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir ;Si tu peux être amant sans être fou d’amour, Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre, Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre ;Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles Sans mentir toi-même d’un mot ;Si tu peux rester digne en étant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les rois, Et si tu peux aimer tous tes amis en frère, Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;Si tu sais méditer, observer et connaître, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur, Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître, Penser sans n’être qu’un penseur ;Si tu peux être dur sans jamais être en rage, Si tu peux être brave et jamais imprudent, Si tu sais être bon, si tu sais être sage, Sans être moral ni pédant ;Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite Et recevoir ces deux menteurs d’un même front, Si tu peux conserver ton courage et ta tête Quand tous les autres les perdront,Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront à tous jamais tes esclaves soumis, Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire Tu seras un homme, mon fils.
Omon très cher amour, toi mon œuvre et que j'aime, A jamais j'allumai le feu de ton regard, Je t'aime comme j'aime une belle œuvre d'art, Une noble statue, un magique poème. Tu seras, mon aimée, un témoin de moi-même. Je te crée à jamais pour qu'après mon départ, Tu transmettes mon nom aux hommes en retard Toi, la vie et l'amour, ma
Aujourd’hui nous allons à la découverte d’un poème célèbre et très touchant écrit par un poète du XXème siècle. Beaucoup le connaissent déjà, d’autres peut-être pas encore, mais une seule chose de sûre est que chaque vers, chaque strophe de ce magnifique poème que je qualifierai de chef-d’œuvre inspire, ressource, émeut, transperce, renforce, forge, apprend, comprend, cadre parfaitement avec le caractère humain, la définition même de ce qu’est l’homme et de ce qu’il est appelé à être… Si, en anglais If—, est un poème de Rudyard Kipling, écrit en 1895, et publié en 1910 dans Rewards and Fairies. Il lui a été inspiré par le raid Jameson. Évocation de la vertu britannique de l’ère victorienne, comme Invictus de William Ernest Henley vingt ans plus tôt, ce poème est rapidement devenu très célèbre. Deux de ses vers sont notamment reproduits à l’entrée des joueurs du court central de Wimbledon. C’est l’adaptation d’André Maurois dans son livre Les Silences du colonel Bramble publié en 1918 sous le titre Tu seras un homme, mon fils qui est la version la plus connue du poème en France. Soucieux de maintenir la pureté de la langue et de rester fidèle au sens plutôt qu’à la lettre des textes, Maurois a écrit une version se composant de vers parfaitement réguliers et sans rime approximative qui reprend l’idée fondamentale du poème de Kipling tout en ne traduisant directement que quelques vers. Le 14 juin 1940, Paul Rivet placarde le poème sur les portes du musée de l’Homme, en signe de résistance à l’occupant allemand. Le poème a connu d’autres traductions françaises et adaptations également. TU SERAS UN HOMME, MON FILS Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vieEt sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,Ou perdre en un seul coup le gain de cent partiesSans un geste et sans un soupir ; Si tu peux être amant sans être fou d’amour,Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,Pourtant lutter et te défendre ; Si tu peux supporter d’entendre tes parolesTravesties par des gueux pour exciter des sots,Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches follesSans mentir toi-même d’un mot ; Si tu peux rester digne en étant populaire,Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,Et si tu peux aimer tous tes amis en frère,Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ; Si tu sais méditer, observer et connaître,Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,Penser sans n’être qu’un penseur ; Si tu peux être dur sans jamais être en rage,Si tu peux être brave et jamais imprudent,Si tu sais être bon, si tu sais être sage,Sans être moral ni pédant ; Si tu peux rencontrer Triomphe après DéfaiteEt recevoir ces deux menteurs d’un même front,Si tu peux conserver ton courage et ta têteQuand tous les autres les perdront, Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la VictoireSeront à tous jamais tes esclaves soumis,Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la GloireTu seras un homme, mon fils. Rudyard Kipling, né à Bombay, en Inde britannique, le 30 décembre 1865 et mort à Londres, le 18 janvier 1936, est un écrivain britannique. En 1907, il est le premier auteur de langue anglaise à recevoir le prix Nobel de littérature, et le plus jeune à l’avoir reçu à 42 ans. J’espère que cette petite immersion vous a plu. N’hésitez pas à donner vos avis et impressions en commentaire dans l’attente d’un nouvel article encore plus édifiant. De tout mon cœur !
Deces tristes débris quand tu verrais, ravie, D'autres créations éclore à grands essaims, Ton Idée éclater en des formes de vie Plus dociles à tes desseins, Est-ce à dire que Lui, ton espoir, ta chimère, Parce qu'il fut rêvé, puisse un jour exister ? Tu crois avoir conçu, tu voudrais être mère ; A l'œuvre ! il s'agit d'enfanter.
TLa laïcité devrait être le terreau de la quand celui-ci ne laisse plus que ruines et nos perspectives, l’état raquette, ou l’état de déliquescence, combines et l’avenir, se restreint à leur télé réalité,Vous réduisant à ces pires jeux de votre rêve Internet, défie les consciences,Et, impose le virtuel au-delà du temps de devenir sans avenir,Celui des lendemains vos certitudes oppriment les votre CAC 40 nous transforme en tout votre argent roi, aux dépens des la terre appauvrie ne nourrit plus son vos usines à bestiaux, dénient au temps son l’eau des mers et des rivières coule,Bayer ; Nitrate, pesticides et la jeunesse crie son que le rêve se shoot, cannabis d’ que caricature, la rébellion se termine, vous prétendez la hauteur, en rabaissant les que vos banques se servent,et viennent vider nos pocheAlors que nous, on trime, sue ; Crève défilent rejet, potion magique Pôle pourtant même les élus filent mauvais plus fort, les écoles distillent l’ ne sèment jeune pousse, qu’incompréhensions,Quand vos médias, neutralisent l’ en plus soumission. Paroles de nos cerveaux sont vidés, nos idées vos dieux pognon, imposeront leurs on bétonne, on bitume les en faisant pousser l’herbe sur les des prêcheurs disposeront de que tu ne seras pas éduqué, conquérant et ne seras pas un homme mon B . Ceci est un pastiche du célèbre poème de Rudyard kipli Tu seras un homme mon fils. »
Inspirédu célèbre poème de Rudyard Kipling, "Tu seras un homme mon fils" (1909), ce spot permet d'aborder la question de la virilité et des stéréotypes qui enferment les hommes. Cet outil de sensibilisation met en scène des hommes de tous âges dans leurs quotidiens avec leur fils, lors d'épreuves sportives, à l'école, dans des
Ce poème traduit de l'anglais du poème original "IF" porte souvent le titre "Si". Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir ; Si tu peux être amant sans être fou d’amour, Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre, Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre ; Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles Sans mentir toi-même d’un mot ; Si tu peux rester digne en étant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les rois, Et si tu peux aimer tous tes amis en frère, Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ; Si tu sais méditer, observer et connaître, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur, Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître, Penser sans n’être qu’un penseur ; Si tu peux être dur sans jamais être en rage, Si tu peux être brave et jamais imprudent, Si tu sais être bon, si tu sais être sage, Sans être moral ni pédant ; Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite Et recevoir ces deux menteurs d’un même front, Si tu peux conserver ton courage et ta tête Quand tous les autres les perdront, Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront à tous jamais tes esclaves soumis, Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire Tu seras un homme, mon fils. Rudyard Kipling Encouragement
Sil’ami ni l’ennemi ne peuvent te corrompre ; Si tout homme, pour toi, compte, mais nul par trop ; Si tu sais bien remplir chaque minute implacable. De soixante secondes de chemins accomplis, À toi sera la Terre et son bien délectable, Et,
Tu Seras Un Homme Mon FilsTu seras un homme, mon tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vieEt, sans dire un seul mot te remettre à bâtirOu perdre d’un seul coup le gain de cent partiesSans un geste et sans un tu peux être amant sans être fou d’amour,Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,Pourtant lutter et te tu peux supporter d’entendre tes parolesTravesties par des gueux pour exciter les sôts,Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches follesSans mentir toi-même d’un tu peux rester digne en étant populaire,Si tu peux rester peuple en conseillant les roisEt si tu peux aimer tous tes amis en frèresSans qu’aucun d’eux soit tout pour tu sais méditer, observer et connaître,Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,Rêver, sans laisser ton rêve être ton maîtrePenser, sans n’être qu’un tu peux être dur sans jamais être en rage,Si tu peux être brave et jamais imprudent,Si tu peux être bon, si tu sais être sage,Sans être moral ni tu peux rencontrer triomphe après défaiteEt recevoir ces deux menteurs d’un même tu peux conserver ton courage et ta tête,Quand tous les autres la les rois, les dieux, la chance et la victoireSeront à tout jamais tes esclaves soumis,Et, ce qui vaut mieux que les rois et la gloire,Tu seras un homme, mon KiplingSyllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Tu Seras Un Homme Mon Filstu=se=ras=un=hom=me=mon=fils 8si=tu=peux=voir=dé=truit=lou=vra=ge=de=ta=vie 12et=sans=direun=seul=mot=te=re=met=tre=à=bâ=tir 12ou=per=dre=dun=seul=coup=le=gain=de=cent=par=ties 12sans=un=ges=te=et=sans=un=sou=pir 9si=tu=peux=être=a=mant=sans=ê=tre=fou=da=mour 12si=tu=peux=ê=tre=fort=sans=ces=ser=dê=tre=tendre 12et=te=sen=tant=haï=sans=haïr=à=ton=tour 10pour=tant=lut=ter=et=te=dé=fen=dre 9si=tu=peux=sup=por=ter=den=ten=dre=tes=pa=roles 12tra=ves=ties=par=des=gueux=pour=ex=ci=ter=les=sôts 12et=den=ten=dre=men=tir=sur=toi=leurs=bou=ches=folles 12sans=men=tir=toi=mê=me=dun=mot 8si=tu=peux=res=ter=digne=en=é=tant=po=pu=laire 12si=tu=peux=res=ter=peu=ple=en=con=seillant=les=rois 12et=si=tu=peux=ai=mer=tous=tes=a=mis=en=frères 12sans=quau=cun=deux=soit=tout=pour=toi 8si=tu=sais=mé=di=ter=ob=ser=ver=et=con=naître 12sans=ja=mais=de=ve=nir=s=cep=ti=queou=des=truc=teur 13rê=ver=sans=lais=ser=ton=rê=ve=ê=tre=ton=maître 12pen=ser=sans=nê=tre=quun=pen=seur 8si=tu=peux=être=dur=sans=ja=mais=ê=tre=en=rage 12si=tu=peux=ê=tre=bra=ve=et=ja=mais=im=prudent 12si=tu=peux=ê=tre=bon=si=tu=sais=ê=tre=sage 12sans=ê=tre=mo=ral=ni=pé=dant 8si=tu=peux=ren=con=trer=triom=phe=a=près=dé=faite 12et=re=ce=voir=ces=deux=men=teurs=dun=mê=me=front 12si=tu=peux=con=ser=ver=ton=cou=rage=et=ta=tête 12quand=tous=les=au=tres=la=per=dront 8a=lors=les=rois=les=dieux=la=chance=et=la=vic=toire 12se=ront=à=tout=ja=mais=tes=es=cla=ves=sou=mis 12et=ce=qui=vaut=mieux=que=les=rois=et=la=gloi=re 12tu=se=ras=un=hom=me=mon=fils 8ru=dyard=ki=pling 4Phonétique Tu Seras Un Homme Mon Filsty səʁaz- œ̃n- ɔmə, mɔ̃ ty pø vwaʁ detʁɥi luvʁaʒə də ta vie, sɑ̃ diʁə œ̃ səl mo tə ʁəmεtʁə a batiʁu pεʁdʁə dœ̃ səl ku lə ɡɛ̃ də sɑ̃ paʁtisɑ̃z- œ̃ ʒεstə e sɑ̃z- œ̃ ty pøz- εtʁə amɑ̃ sɑ̃z- εtʁə fu damuʁ,si ty pøz- εtʁə fɔʁ sɑ̃ sese dεtʁə tɑ̃dʁə,e, tə sɑ̃tɑ̃-aj, sɑ̃-ajʁ a tɔ̃ tuʁ,puʁtɑ̃ lyte e tə ty pø sypɔʁte dɑ̃tɑ̃dʁə tε paʁɔlətʁavεsti paʁ dε ɡø puʁ εksite lε so,e dɑ̃tɑ̃dʁə mɑ̃tiʁ syʁ twa lœʁ buʃə fɔləsɑ̃ mɑ̃tiʁ twa mεmə dœ̃ ty pø ʁεste diɲə ɑ̃n- etɑ̃ pɔpylεʁə,si ty pø ʁεste pəplə ɑ̃ kɔ̃sεjɑ̃ lε ʁwae si ty pøz- εme tus tεz- amiz- ɑ̃ fʁεʁəsɑ̃ kokœ̃ dø swa tu puʁ ty sε medite, ɔpsεʁve e kɔnεtʁə,sɑ̃ ʒamε dəvəniʁ sεptikə u dεstʁyktœʁ,ʁεve, sɑ̃ lεse tɔ̃ ʁεvə εtʁə tɔ̃ mεtʁəpɑ̃se, sɑ̃ nεtʁə kœ̃ ty pøz- εtʁə dyʁ sɑ̃ ʒamεz- εtʁə ɑ̃ ʁaʒə,si ty pøz- εtʁə bʁavə e ʒamεz- ɛ̃pʁyde,si ty pøz- εtʁə bɔ̃, si ty sεz- εtʁə saʒə,sɑ̃z- εtʁə mɔʁal ni ty pø ʁɑ̃kɔ̃tʁe tʁjɔ̃fə apʁε defεtəe ʁəsəvwaʁ sε dø mɑ̃tœʁ dœ̃ mεmə ty pø kɔ̃sεʁve tɔ̃ kuʁaʒə e ta tεtə,kɑ̃ tus lεz- otʁə- la lε ʁwa, lε djø, la ʃɑ̃sə e la viktwaʁəsəʁɔ̃ a tu ʒamε tεz- εsklavə sumi,e, sə ki vo mjø kə lε ʁwaz- e la ɡlwaʁə,ty səʁaz- œ̃n- ɔmə, mɔ̃ kipliŋSyllabes Phonétique Tu Seras Un Homme Mon Filsty=sə=ʁa=zœ̃=nɔ=mə=mɔ̃=fis 8si=ty=pø=vwaʁ=det=ʁɥi=lu=vʁaʒə=də=ta=vi 11e=sɑ̃=diʁəœ̃=səl=mo=tə=ʁə=mε=tʁə=a=ba=tiʁ 12u=pεʁdʁə=dœ̃=səl=ku=lə=ɡɛ̃=də=sɑ̃=paʁ=ti 11sɑ̃=zœ̃=ʒεstə=e=sɑ̃=zœ̃=su=piʁ 8si=ty=pø=zεtʁəa=mɑ̃=sɑ̃=zε=tʁə=fu=da=muʁ 11si=ty=pø=zεtʁə=fɔʁ=sɑ̃=se=se=dε=tʁə=tɑ̃dʁə 11e=tə=sɑ̃=tɑ̃-aj=sɑ̃-ajʁ=a=tɔ̃=tuʁ 10puʁ=tɑ̃=ly=te=e=tə=de=fɑ̃dʁə 8si=ty=pø=sy=pɔʁ=te=dɑ̃=tɑ̃dʁə=tε=paʁɔlə 10tʁa=vεs=ti=paʁ=dε=ɡø=puʁ=εk=si=te=lε=so 12e=dɑ̃=tɑ̃dʁə=mɑ̃=tiʁ=syʁ=twa=lœʁ=bu=ʃə=fɔlə 11sɑ̃=mɑ̃=tiʁ=twa=mε=mə=dœ̃=mo 8si=ty=pø=ʁεs=te=diɲəɑ̃=ne=tɑ̃=pɔpylεʁə 9si=ty=pø=ʁεs=te=pə=pləɑ̃=kɔ̃=sε=jɑ̃=lε=ʁwa 12e=si=ty=pø=zε=me=tus=tε=za=mi=zɑ̃fʁεʁə 11sɑ̃=ko=kœ̃=dø=swa=tu=puʁ=twa 8si=ty=sε=me=di=te=ɔp=sεʁ=ve=e=kɔnεtʁə 11sɑ̃=ʒa=mεdə=və=niʁ=sεp=ti=kəu=dεs=tʁyk=tœʁ 11ʁε=ve=sɑ̃=lεse=tɔ̃=ʁε=vəε=tʁə=tɔ̃mεtʁə 9pɑ̃=se=sɑ̃=nε=tʁə=kœ̃=pɑ̃=sœʁ 8si=ty=pø=zεtʁə=dyʁ=sɑ̃=ʒa=mε=zε=tʁəɑ̃=ʁaʒə 11si=ty=pø=zεtʁə=bʁavəe=ʒa=mε=zɛ̃=pʁy=de 10si=ty=pø=zεtʁə=bɔ̃=si=ty=sε=zε=tʁə=saʒə 11sɑ̃=zε=tʁə=mɔ=ʁal=ni=pe=dɑ̃ 8si=ty=pø=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁe=tʁjɔ̃fəa=pʁε=de=fεtə 10e=ʁə=sə=vwaʁ=sε=dø=mɑ̃=tœʁ=dœ̃=mεmə=fʁɔ̃ 11si=ty=pø=kɔ̃=sεʁ=ve=tɔ̃=ku=ʁaʒəe=ta=tεtə 11kɑ̃=tus=lε=zo=tʁə=la=pεʁ=dʁɔ̃ 8a=lɔʁ=lε=ʁwa=lε=djø=la=ʃɑ̃səe=la=vik=twaʁə 11sə=ʁɔ̃=a=tu=ʒa=mε=tε=zεs=klavə=su=mi 11e=sə=ki=vo=mjøkə=lε=ʁwa=ze=la=ɡlwaʁə 10ty=sə=ʁa=zœ̃=nɔ=mə=mɔ̃=fis 8ʁy=di=aʁ=ki=pliŋ 5PostScriptumCelui la n’est pas de moi mais de Kipling, vu que je ne peus pas l’ajouter au citation vu qu’on ne peut copier coller qu’une ligne a la fois dans cette espace a moins que je ne soit creux je le met la. Ce petit poème est magnifique ! Commentaires Sur La Poesie11/01/2005 0000PenthesiliaVi c clair kil est bo ce poeme, une ligne de conduite exemplaire koike difficile à suivre. . si un jour je peux écrire comme ça alors je serai fiere de moi. . Biz au démon lol, Penthesilia15/01/2005 0000Yunadu77kikou toi je trouve ce poeme tres sympa Poème AdmirationPublié le 11/01/2005 0853 L'écrit contient 274 mots qui sont répartis dans 9 strophes. Poete Onimenosutefan Récompense Texte des commentateurs
ztsWJh. jwppuh8h8q.pages.dev/218jwppuh8h8q.pages.dev/319jwppuh8h8q.pages.dev/26jwppuh8h8q.pages.dev/388jwppuh8h8q.pages.dev/87jwppuh8h8q.pages.dev/320jwppuh8h8q.pages.dev/47jwppuh8h8q.pages.dev/58jwppuh8h8q.pages.dev/195
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