Synecdoche New York peut être pris pour une réflexion sur les orientations que l’on donne à sa vie. Choisir de la vivre ou s’accrocher à un douloureux passé : le prétexte pour la regarder de
En 1986, le New York Times commande un éditorial à Martin Scorsese. Le cinéaste rend un long papier, magnifique lettre adressée à New York. Une lettre d'amour, qui commence ainsi Je suis un type chanceux. J'ai fait le tour du monde, j'ai visité à peu près tous les endroits que je rêvais de voir un jour. Il y a deux ans, je suis allé en Chine, et en Russie. J'ai habité quelque temps à Rome, à Londres, et à Paris... Mais le centre du monde, c'est ici. New York. Il n'y a pas mieux sur Terre. Quoi que puissent proposer les autres villes dans le monde, quel que soit le mode de vie ailleurs, tout ici semble mieux, plus enrichissant, plus excitant. New York est la ville définitive. Quand j'en suis éloigné, j'ai l'impression de rater quelque chose, parce que c'est ici que tout se passe. » Martin Scorsese, histoires de New York raconte cette histoire d'amour, à travers les 14 films new-yorkais du maître. Une histoire d'amour tumultueuse, passionnée, parfois déçue, tout le temps enflammée. MartinScorsese,histoires deNew York C'est le premier film à avoir montré vraiment qui étaient les Italo-Américains. Who's That Knocking at My Door 1968 Who's That Knocking at My Door Peut-être le plus autobiographique des films de Martin Scorsese, Who's That Knocking at My Door est un miroir JR, le héros campé par Harvey Keitel, aurait tout aussi bien pu s'appeler MS, tant la ressemblance avec le jeune Martin Scorsese est manifeste. Les péripéties, les personnages et les décors sont directement inspirés de la vie du cinéaste – deux des personnages portent le nom d'amis proches Joey et Sally Gaga et sa mère fait, déjà, une apparition. Le tout tourné dans les rues mêmes qui ont vu grandir le réalisateur de Taxi Driver L'un des premiers plans de Who's That Knocking at My Door montre Mario, le boucher en face du 241 Elizabeth Street où habitait ma grand-mère. Le film s'ouvre donc sur le point de vue que j'avais enfant depuis ma fenêtre, sur mon quartier ». Et déjà, comme dans Mean Streets cinq ans plus tard, Little Italy filmé comme une cage, avec ses rues dont on ne s'évade pas. La vie des héros, leurs bagarres et leurs beuveries, s'organisent autour des quelques rues qui quadrillent le quartier – Mulberry Street, Elizabeth Street, Mott Street. Artères qu'ils quittent rarement, et que Scorsese filme avec une précision ethnographique Dans Little Italy, chaque block a sa propre bande. Aucune ne se ressemble ». Cette authenticité quasi documentaire précipitera d'ailleurs la rencontre du cinéaste avec l'un de ses acteurs fétiches C'est Brian De Palma qui m'a présenté Robert De Niro. Il avait remarqué que j'avais tourné un film sur son quartier – Who's That Knocking at My Door – même si lui traînait avec une bande différente de la mienne lui était sur Broome Street, nous sur Prince Street. » Deux fois seulement, le film et son héros prennent leurs distances avec Little Italy. À chaque fois, l'éloignement est vécu comme une révolution. Une bouffée d'air frais lors de la rencontre avec the Girl », dans la gare maritime de Staten Island la caméra, aérienne et exaltée, quitte le bitume, multiplie les angles et filme enfin New York comme le lieu de tous les possibles. Une bouffée d'angoisse, plus tard, quand JR et deux amis s'échappent à Copake 150 km au nord de Manhattan Mais qu'est-ce qu'on fait dans un endroit pareil ? », s'interroge l'un d'eux, complètement désemparé. On ne quitte pas si facilement les rues de son enfance. Mean Streets, j'y ai travaillé si longtemps. C'était si proche de moi que je savais au mot près ce que les personnages devaient dire, comment ils devaient s'habiller ou se mouvoir. Mean Streets, c'est un fragment de moi-même. Mean Streets 1973 Martin Scorsese n'en a jamais fait mystère Mean Streets est un film fait de souvenirs intimes, dans le droit fil autobiographique adopté pour Who's That Knocking at My Door. Il le revendique même J'ai voulu nous mettre mes amis et moi-même sur un écran, pour montrer comment nous vivions dans notre petit quartier de Little Italy. Un quartier fou, avec une ambiance qui n'était pas sans rappeler Les Enfants du paradis ; et je voulais montrer cette fièvre. La musique, le bruit, les bagarres. C'était un tract, comme un geste anthropologique ». Des plans du home movie inaugural ont été tournés par son frère en 1965, lors du baptême de sa nièce. Certains figurants sont des proches du cinéaste. Johnny Boy Robert De Niro est inspiré d'un ami de Martin Scorsese… Pour son troisième long métrage, le jeune cinéaste ne s'éloigne pas du quartier qui lui est familier. Il continue à filmer ce qu'il connaît Little Italy, les blocks, les coins de rue qui l'ont vu grandir, Mulberry Street, Spring Street, Broome Street... La cathédrale Saint-Patrick qui ouvre le film est ainsi le lieu de culte de son enfance, là où, au début des années 50, il va prier, à deux pas de son école. Le film est indissociable de ces quelques allées, les personnages ne s'autorisant que de rares embardées en dehors de Little Italy une virée dans Greenwich Village qui tourne court Je suis pas fou ? Ramenez-moi d'où je viens ! » et quelques instants au bord de l'Hudson River – qui semblent autant d'expéditions improbables. Mean Streets est un film purement new-yorkais, un double hommage, à son quartier mais aussi aux films de gangsters new-yorkais de la Warner. Et pourtant, la majeure partie des scènes a été tournée en Californie. C'est Roger Corman qui co-finance le film ; pendant un temps, il essaie de convaincre Martin Scorsese de transposer le scénario à Harlem. Mais Scorsese refuse. Ce sera donc Los Angeles, pour des raisons budgétaires. À force d'insistance, le cinéaste, qui ne veut pas d'un Little Italy en carton-pâte, persuade la production de financer quelques jours de tournage à New York. Il arrache quatre jours, qui deviendront une semaine. Scorsese y tourne quasiment tous les extérieurs, les scènes de rue, les scènes sur les toits. Et les plans sur les portes d'entrée il a beau avoir essayé, Scorsese ne trouve pas à Los Angeles de halls qui ressemblent à ceux de sa jeunesse. Tout y est trop large, trop propre. Scorsese filme donc à domicile. Mais le tournage est tendu. En 1972, Little Italy est toujours un coupe-gorge, une petite Naples au cœur de Manhattan. Le réalisateur doit faire face à l'hostilité des petites frappes qui hantent les rues du quartier – et qui ont largement inspiré le film –, mais aussi à celle des riverains, qui acceptent mal qu'un film au titre si négatif se tourne dans leurs rues… Martin Scorsese filme pourtant à hauteur d'homme, sans jugement ni surplomb. Comme Federico Fellini dans Les Vitelloni, référence assumée, il veut juste raconter son quartier, ses amis, son église Mean Streets, je n'ai jamais cru qu'il sortirait. Je me suis dit au moins, si un particulier trouve ce film dans vingt ans, il verra à quoi ressemblaient les Italo-Américains, et comment ils parlaient. J'ai été très surpris que les gens marchent. » C'est l'histoire d'un type du Middle West qui arrive à New York et qui conduit un taxi la nuit parce qu'il n'arrive pas à dormir. Pour lui, New York est surréel. C'est comme l'enfer. Taxi Driver 1975 Taxi Driver est un instantané. Un instantané de la ville au mitan des années 70, en Babylone moderne, violente et pornographique. Loin du cocon familier de Little Italy, Martin Scorsese embarque sa caméra dans les ruelles sombres de Manhattan, comme halluciné, filmant dans une sorte d'état onirique, comme quand on prend de la drogue ». Au détour d'un plan, cadré ostensiblement, une enseigne néon clignote au milieu de la nuit. Un seul mot Fascination ». Tout est dit. On a du mal à l'imaginer aujourd'hui, mais il fut un temps envisagé de tourner Taxi Driver sur la côte Ouest, à San Francisco. Y a-t-il pourtant plus new-yorkais que Taxi Driver ? De Park Avenue à Colombus Circle en passant par Times Square, du générique au carton final, la ville est de chaque plan. Je voulais que New York fût constamment présent, jusqu'à devenir un personnage en soi. » Et de fait, il y a bien deux héros dans le film Travis Bickle Robert De Niro et cette ville, hantée et fiévreuse, qu'il arpente au volant de son taxi. Une ville oppressante, tentaculaire, à l'atmosphère presque irrespirable L'été du tournage, en 75, fut dramatique pour New York. Et cela se voit dans le film. Il faisait si chaud que l'on pouvait voir la violence planer dans l'air, on pouvait même la sentir dans nos bouches ; et nous étions au milieu de cela. Il y a quelque chose à New York, une sensation qui imprègne le sujet qu'on traite, et qui finit par affecter le comportement de vos personnages. Cette sensation – une sorte de bourdonnement – est indéfinissable, mais tous ceux qui vivent dans cette ville savent de quoi je veux parler. » Tourné en contrebande – Michael Chapman, le chef opérateur, raconte que l'ambiance était alors tellement hostile qu'une bonne partie des scènes de foule nocturne furent filmées clandestinement –, Taxi Driver fascine aussi par sa véracité presque documentaire. Quand Scorsese filme la jeune Iris Jodie Foster et Sport, son mac Harvey Keitel, il plante sa caméra à deux rues d'Union Square, haut lieu de la drogue et de la prostitution new-yorkaise des années 70. La scène d'embauche de Travis est tournée à Hell's Kitchen, dans un vrai dépôt de taxi aujourd'hui disparu. Le plan iconique du film – qui servira à l'affiche – est, lui, tourné dans une rue perpendiculaire à Times Square où abondaient alors les cinémas porno eux aussi disparus. Scorsese ne triche pas, son New York ne ment pas. C'est là que je vis, c'est là que j'ai grandi. J'ai fait appel à mon expérience personnelle, à ce que j'ai pu observer en marchant dans la ville en tous sens, à des images qui étaient restées gravées dans ma mémoire. Je savais précisément où trouver chacun de mes extérieurs. Je me suis d'ailleurs efforcé d'être géographiquement correct pour les trajets du taxi. Pour que ceux qui connaissent bien New York reconnaissent chaque rue, chaque intersection. » Ce souci d'exactitude braque même les studios Sur le film, la réalité et la fiction en venaient à fusionner, on n'arrivait plus à distinguer nos figurants des passants. Pour la scène de cafétéria entre Travis et Betsy, pour laquelle je voulais en arrière plan Columbus Circle et toute son animation, il s'est mis à pleuvoir pendant quatre jours, et les raccords entre les plans sont devenus problématiques. Le studio exigea que je continue à tourner malgré tout, et me demanda de placer les acteurs devant un mur blanc. C'était techniquement possible, mais on aurait perdu toute la vie environnante. J'ai failli arrêter le film. » Moins autobiographique, le New York de Scorsese prend avec Taxi Driver une nouvelle dimension. Le cinéaste n'y perd pas au change Quand on fait un film à New York, on obtient plus que ce que l'on demande. C'est ce que j'ai appris, lorsque j'ai tourné Taxi Driver ». Raging Bull est un tournant. C'est le film de l'acceptation. Acceptation de qui je suis, et d'où je viens. Avec ce film, je suis revenu vers mes parents, et eux sont revenus dans mes films. Raging Bull 1980 1978. Martin Scorsese est au plus bas. Terrassé par l'échec de New York, New York, au plus mal physiquement, hospitalisé pendant une semaine, Scorsese traverse une période de doute qui va jusqu'à lui faire remettre en cause le goût de tourner. De son propre aveu, ce sont les jours les plus terribles de sa vie. Il faut alors toute l'amitié et la force de persuasion de Robert De Niro pour lancer concrètement le projet de Raging Bull. Il est venu me voir et nous avons commencé à parler de nos amis communs. Nous avions fréquenté le même dancing, le Webster Hall – un club où l'on dansait et se battait entre clans rivaux dans les années cinquante. C'est là que j'ai tourné la scène où l'on voit Vickie danser avec des gangsters. » De Niro sait toucher la corde sensible le Webster Hall, c'est aussi l'endroit où allaient danser les parents de Scorsese dans les années vingt. Le passé, la famille, les amis, le quartier après une longue et épuisante parenthèse californienne, Martin Scorsese revient donc filmer à New York comme on revient à la source, à la recherche de repères familiers qui pourraient ranimer la flamme. La croix dans l'appartement, c'est celle de ma mère. Vous l'avez déjà aperçue dans Who's That Knocking at My Door. La statue aussi. Pour la scène du mariage, je me suis souvenu de celui de mes parents en 1933. Il faisait si chaud qu'il avait fallu tenir la réception sur le toit ». Scorsese, malade le jour du tournage, confie même la réalisation de la séquence à son père... C'est de la nostalgie pure », reconnaît le cinéaste, qui semble alors retrouver goût au cinéma en ravivant ses souvenirs. Car, si Raging Bull est un film âpre, dur, il laisse aussi transparaître, au détour de quelques scènes intimistes, une forme de nostalgie affectueuse pour le New York de l'immédiat après-guerre. La fameuse piscine à ciel ouvert où Vickie et Jake échangent leurs premiers mots est filmée comme un havre de paix au milieu du dédale urbain. C'est là aussi que sont tournés bon nombre des plans de l'intermède en Super-8 qui fixent leurs rares moments de bonheur amoureux. Plus tard, Martin Scorsese filme le Copacabana – mythique club new-yorkais qu'il investira à nouveau dans Les Affranchis – à l'ancienne. Faste du décor, faste des costumes, la reconstitution historique joue la nostalgie à double détente évocation d'un cinéma disparu, celui des années 40 et 50, mais aussi chromo d'un New York festif et joyeux que Scorsese met en scène avec une exaltation renaissante. Déjà à l'œuvre dans Mean Streets et Who's That Knocking..., la nostalgie prend ici un tour plus universel. Avec Raging Bull, Scorsese s'éloigne par cercles concentriques de Little Italy, cœur nucléaire de son cinéma. Il pose désormais sa caméra dans Hell's Kitchen les extérieurs du premier appartement de Jake LaMotta, dans le Bronx Pelham Parkway pour les intérieurs de son second appartement ou à Union Square le Gramercy Gym où s'entraînent les deux frères. Film après film, Martin Scorsese dépeint un peu plus que son quartier. Il se met à raconter sa ville. Je suis très sensible à la folie qui nous entoure, à tous ces incidents saugrenus, incongrus, que je surprends dans la rue. Et cette irréalité, je l'incorpore dans mes films. La Valse des pantins 1982 Martin Scorsese orchestre avec La Valse des pantins des retrouvailles nécessaires avec sa ville. C'est un film que tu pourrais tourner à New York, très rapidement. Tu ferais ce que tu veux », lui avait dit De Niro en lui faisant découvrir le script, plusieurs années auparavant. Scorsese, qui vient de faire quelques incursions en Californie pour achever certains extérieurs de Raging Bull, ne se fait pas prier Dès que cela a été possible, je suis retourné à New York, pour y tourner La Valse des pantins ». Il se lance alors dans un tournage qui va vite se révéler éprouvant. La Valse des pantins est un film fébrile. Pour éviter une grève des metteurs en scène, les prises de vues débutent beaucoup plus tôt que prévu. Les extérieurs, nombreux, compliqués à gérer, le placent d'emblée dans un climat de stress intense. Son idée maîtresse est pourtant très claire Je voulais faire deux choses, tourner aussi vite que possible, et surtout réduire mon style à quelque chose de très retenu, avec des plans très simples dans leur composition, créer une tension. » La Valse des pantins est un film qui déborde. À la logorrhée de Rupert Pupkin, son héros névrosé, Scorsese fait répondre le déferlement de la foule. Celle des fans, d'abord sympathiques puis rapidement hostiles, qui attendent Jerry Langford après sa prestation de stand-up. Celle des piétons dans Times Square, qui vaut des sueurs froides à toute l'équipe de tournage. Entre nous, c'était vraiment chaotique. Même dangereux. La scène où Bob se bagarre avec Sandra Bernhard dans la rue a nécessité cinq jours de tournage. Je tournais toujours entre cinq et sept heures du soir, au Steadicam. Il y avait la foule des passants. Les gens s'en foutaient, ils déferlaient sur nous, si bien qu'à un moment, dans les rushes, on perd Bob de vue et on l'entend dire "Je ne sais pas, je ne vois plus la caméra." Le tournage dans la ville, en plein New York, a été très difficile, à cause du trafic dans le centre et des gens qui se précipitaient sur nous comme des vagues humaines. » La Valse des pantins est un film cannibale. Scorsese utilise New York et sa masse grouillante pour mieux mettre en relief l'isolement de ses personnages. Jerry et Rupert habitent dans des lieux solitaires, l'un dans son antre artificiel, l'autre dans un appartement froid où le verre et la transparence sont maîtres. Pour ses intérieurs, Scrosese enfonce le clou en filmant le calme de bureaux aseptisés, en opposition à cette foule bruyante et vorace, aux anonymes innombrables d'un New York froid, propre et pressé, qui avale ses stars, les broie et les recrache. Car face au duo Jerry Lewis / Robert De Niro, l'un des autres personnages est la Ville, qui est si vivante. » Excepté deux membres des Clash – clin d'œil du fondu de rock qu'est Scorsese – au détour d'un plan, pas de figurants officiels. Juste la volonté d'ancrer son histoire si fantasmatique dans le quotidien et le réel Les gens qu'on voit sont les vrais passants, ceux qu'on croise dans la rue. » Dans ce contexte, Rupert Pupkin avance obstinément vers son but sortir de l'anonymat pour connaître enfin son heure de gloire. Mais il est englouti dans le flux et le reflux de la marée humaine, dont il essaie désespérément de s'extraire. Lorsqu'au sortir du Paramount Plaza, où travaille son idole, il disparaît à l'angle d'une rue, masqué par des passants, il n'est plus qu'un homme dans la foule. Comme Larry Rhodes dans le film éponyme de Kazan, que Scorsese adore. Alors que Jerry, lui, peut se promener à pied dans New York tel un roi dans son jardin, il est reconnu, salué, on lui fait place. Rupert est aussi l'élément perturbateur, celui qui agit à contre-courant, qui se joue des conventions sociales. Il fait des cabines téléphoniques de Times Square son bureau, interrompant la circulation naturelle qui veut qu'un quidam remplace l'autre. Rupert veut prendre la ville comme on assiège une citadelle, et il retournera, dans une ultime scène de bar, faire constater par ses pairs la validité de sa couronne. Un autre roi est né, longue vie au roi ! La chose la plus intéressante, c'était d'utiliser l'arrière-plan new-yorkais comme une sorte de puzzle chinois. After Hours1985 After Hours, ou le cauchemar urbain. Celui de Paul, informaticien de Madison Avenue égaré dans le dédale de SoHo, et peut-être par extension celui de Martin Scorsese, qui confesse sans fard Je hais SoHo. Je l'ai dit plusieurs fois. Je ne peux pas... » Le quartier n'est qu'à quelques rues de Little Italy. Pourtant, Scorsese jeune ne s'y aventure que tardivement. J'y étais peut-être passé en voiture, une ou deux fois. Quand j'avais neuf ans, ma mère m'y a emmené avec un ami, pour faire un tour, manger une glace, et nous sommes rentrés. C'est tout. Avant cela, je ne savais rien sur ce quartier, je l'ignorais. » Dès le générique, pourtant, on sent le réalisateur dans son élément. Les codes scorsésiens sont bien là, tout comme les néons des enseignes, le travelling fébrile au milieu des bureaux... Et puis la nuit new-yorkaise. After Hours se tourne en six semaines, pendant lesquelles Scorsese prend un réel plaisir, palpable dans chaque plan. Plus Paul se perd, plus la tragi-comédie s'imprègne d'humour et de malice, avec en point d'orgue la scène du Club Berlin. Scorsese, l'air féroce, y joue le grand ordonnateur pervers, magicien d'Oz moderne, manipulant un projecteur avec jubilation sur son héros dérouté. Tout un symbole. La nuit d'errance aura pour seul cadre ce quartier hostile, doté d'une vie propre. Des rues désertes, des bouches d'égout fumantes, un sol détrempé, les réverbères faiblards et leurs halos flous... Des bars de noctambules esseulés comme le Terminal Bar... Une faune nocturne étrange et étrangère. Même les objets semblent agressifs. À l'enfermement du personnage répond un quadrillage des rues précis, symétrique. Scorsese élargit de nouveau son horizon, même si le trajet de Paul recoupe parfois les escapades de Mean Streets ou les errances de Travis Bickle dans Taxi Driver. Ce qui domine, c'est surtout l'impression de tourner en rond. Scorsese joue. Détaille les adresses dans les dialogues, dans un plan sur un flyer, sur une plaque. Enferme encore plus son personnage dans l'absurde lors de la séquence du métro à la station de Spring Street. Il fait finalement sortir Paul du labyrinthe dans un trajet mémorable, filmant scrupuleusement chaque panneau Hudson Street, 8th Avenue, Madison Avenue... Le yuppie a regagné son bureau, le cauchemar kafkaïen peut s'arrêter, et Scorsese retourner en terrain connu. Je ne voulais pas tourner le film en studio. Je tenais à ce qu'on voie, à ce qu'on ressente la ville à travers les fenêtres. Une ville bien réelle, pas une toile peinte. ApprentissagesNew York Stories1989 Apprentissages New York Stories Œuvre singulière dans la carrière Martin Scorsese, Apprentissages est le premier segment d'un film à sketches co-réalisé avec Woody Allen et Francis Ford Coppola le bien-nommé New York Stories. Si les scènes d'intérieur sont une fois encore tournées dans des rues familières L'atelier de Lionel, qui était notre décor principal, a été construit dans un entrepôt de l'East Village, à quelques pas d'Elizabeth Street où j'ai grandi. En face de la teinturerie pour laquelle travaillait mon père », le film se déroule lui un peu plus à l'ouest, à cheval sur Tribeca et SoHo. C'est la seconde fois, après After Hours, que Scorsese y situe l'action de l'un de ses films. De son propre aveu, SoHo est un quartier que le cinéaste a en horreur, mais c'est le scénario de Richard Price qui dicte ici le décor Nick Nolte y campe un artiste, peintre renommé, établi dans l'un de ces lofts dont le quartier regorge. Les sorties des deux héros Nolte et Rosana Arquette s'articulent donc autour des quelques rues qui entourent l'atelier, l'occasion pour Scorsese d'immortaliser un certain New York bohème des années 80. Parmi les hauts lieux de ce SoHo eighties Le Tunnel, mythique night-club new-yorkais sis dans une ancienne gare de fret, et décor d'une scène étonnante avec un tout jeune Steve Buscemi. Et The Odeon, bar ouvrier devenu branché, symbole de la gentrification doucement entamée par le quartier à la fin des années 80. Manière déjà, pour le réalisateur, de prendre acte des changements sociologiques et urbains qui s'opèrent autour des rues qui l'ont vu grandir. Apprentissages est, de l'aveu même du cinéaste, un petit film ». Une récréation, entre l'éprouvant tournage de La Dernière tentation du Christ et celui des Affranchis. Mais chez Scorsese, même les parenthèses ont du sens. Les Affranchis m'a rappelé ce que je ressentais enfant. Les caïds faisaient partie de la vie courante dans notre quartier. Les Affranchis 1990 Les affranchis vivaient en cercle fermé, mais ils aimaient sortir ». C'est Nick Pileggi, co-scénariste et auteur du livre qui a inspiré le film, qui donne les clés des Affranchis être mafieux, c'est à la fois occuper l'espace et se cacher. Quadriller son territoire, le tenir, et repousser dans ses marges ce qui dérange. C'est aller flamber dans les clubs et les restaurants de Brooklyn, et planquer maîtresses et cadavres dans le Queens tout proche. Une vie mi-flamboyante, mi-souterraine, que Martin Scorsese et Pileggi vont cartographier dans Les Affranchis avec la précision de deux entomologistes. Pour Scorsese, pourtant, le paysage est inédit c'est la première fois de sa carrière que le réalisateur traverse l'East River et met le cap sur l'est de la ville Ce n'était pas un monde que je connaissais aussi intimement que celui de Mean Streets, où nombre d'incidents m'étaient arrivés à moi ou à mes amis. Les personnages des Affranchis, je ne les ai pas connus. Cela se passe en dehors de Manhattan, à Brooklyn, Queens, Long Island. Le monde de Henry Hill est un monde différent du mien. » Henry Hill, c'est une adolescence à horizon restreint, faite de menus larcins perpétrés dans les trois rues avoisinant sa maison d'enfance. Le jeune homme apprend le métier au pied de chez lui. C'est un facteur molesté devant le bureau de poste voisin, une Cadillac à garer sur le parking du coin, un caïd blessé à panser dans la pizzeria d'à côté... Scorsese filme cette série de rites initiatiques avec la précision quasi documentaire déjà adoptée dans ses premiers films – et alors qu'il pourrait s'offrir n'importe quel extérieur dans New York, déniche ses décors dans les rues du quartier. D'aucuns y verront une forme de pragmatisme, un souci d'économie. On penchera plutôt pour la préoccupation, jamais démentie, d'exactitude et de réalisme urbain qui anime le réalisateur depuis ses débuts puisque l'action s'est déroulée dans cette rue, pourquoi aller filmer ailleurs ? Et si les caïds des Affranchis sont d'une autre étoffe que ceux de Mean Streets et donc leur territoire plus étendu, la géographie intime reste la même chez Scorsese, on ne s'éloigne pas de son fief. Faits d'incessants va-et-vient entre le cœur et la périphérie de Brooklyn, le film n'en sort qu'une fois, le temps d'une soirée dans Manhtattan, au Copacabana Je connaissais le Copacabana des années cinquante pour y avoir vu ajouter des tables pour les clients de marque. Le Copacabana était ce qu'il nous paraissait y avoir de plus sophistiqué. Le Copacabana, c'était la récompense. C'est d'ailleurs le seul moment du film où Henry Hill et Karen sont vraiment heureux. » Manhattan, ce n'est donc que pour les grandes occasions. Le reste du film se cantonnera à Brooklyn. S'en éloigner, ce serait déjà l'abandonner. Le film ne raconte au fond que ça. L'emprise d'une bande, au sommet de sa gloire, sur un territoire. Puis le maillage qui se délite, au fil de sa chute. À un moment rois de la ville, les affranchis » se retrouvent à la fin du film comme vomis hors de leur ancien fief, repoussés dans ses marges. C'est Tommy, assassiné dans une banlieue quelconque de South Brooklyn. C'est Jimmie Conway, qui se fait discret du côté des docks de Red Hook. Ce sont les corps des anciens complices, disséminés au quatre coins de New York dont Frankie Carbone, retrouvé dans un camion réfrigéré au fin fond du Meatpacking District, à Manhattan. C'est enfin, et surtout, Henry Hill, autrefois prince de la ville, relégué au rang de citoyen lambda, dans un suburb ordinaire Tout est fini. C'est ça qu'il y a de plus dur à vivre. Il ne se passe plus rien. Il faut attendre, comme tout le monde... Impossible même de manger correctement à peine arrivé ici, j'ai commandé des spaghetti sauce marinara, et tout ce que j'ai eu, c'est des nouilles au ketchup. Je suis devenu un anonyme moyen, et je vais devoir finir ma vie comme un schnock. » New York est bien affaire de territoires, que l'on conquiert, que l'on défend, que l'on perd, aussi. Avec ses quartiers, comme autant de signes d'appartenance et de reconnaissance sociale. C'est un grand thème scorsesien. Et ce sera, quelques années plus tard, le grand sujet de Gangs of New York. Je suis fasciné par l'histoire de la ville de New York. L'une des choses qui m'a le plus intéressé, c'est la manière dont la ville a été élaborée. Le Temps de l'innocence 1993 Le Temps de l'innocence, c'est la peinture ciselée d'un monde disparu, le New York des années 1870, que Martin Scorsese recrée avec méticulosité. En adaptant le roman d'Edith Wharton, il plonge à la fois dans le passé, et dans un milieu qui lui est étranger. Du moins à première vue. Ils portent des costumes d'époque, mais leur comportement n'est pas si différent de celui de mes gangsters ». Scorsese déplace donc ses personnages dans le temps, mais continue à traiter de la violence. Violence larvée, celle des émotions, des passions, violence d'une société dont les bonnes manières, l'apparence et les carcans sociaux sont le credo, une tribu comme les autres, avec ses mœurs et ses rituels ». Derrière le mélodrame et l'hommage aux films en costume, c'est le Scorsese anthropologue qui tient la caméra. Qui revendique son travail de reconstitution On s'est documenté sur tous les lieux qu'a connus Edith Wharton à New York. » C'est à Troy, à quelque 250 km au Nord, que Dante Ferretti reconstitue les décors de l'époque. Mais aussi à Paris, pour l'épilogue du film, et à Philadelphie, pour les extérieurs de l'Académie de musique de Broadway, autrefois sise entre Irving Place et la 14e rue. Sans pour autant perdre l'esprit de la ville et de son aristocratie guindée, l'atmosphère des hôtels particuliers de la 5e Avenue, du Jardin botanique ou de Gramercy Park. Je savais que le décor jouerait un rôle important dans cette histoire pas seulement parce qu'il s'agissait d'un film d'époque, mais parce que je voulais signifier à quel point toute cette opulence avait fini par être une prison pour les personnages principaux du film. » Comme un symbole, la maison de Mrs. Mingott, isolée, plantée dans la boue d'un Central Park désertique. Cette maison m'a toujours intrigué. J'aime l'idée de l'aspect que pouvait avoir New York quand elle a commencé à devenir une métropole, avec cet unique hôtel particulier perdu au milieu de nulle part. ». Comme un symbole encore, au détour d'un plan furtif dans la gare de Jersey City, un couple de vieux émigrants, incarnés par Catherine et Charles Scorsese, les parents du cinéaste. Le Temps de l'innocence tient largement sa place dans le travail d'historien de la ville, de sa ville, que Scorsese bâtit de film en film. C'est aussi une forme de préambule à la reconstitution qu'il livrera plus tard dans Gangs of New York. Il est devenu très difficile de tourner à New York. On a affaire à la police, au maire, aux responsables de la circulation. Il y a tout un carcan de réglementations, de contraintes horaires... Un monstre bureaucratique. À tombeau ouvert 1999 1999. À l'exception de quelques prises de vue pour Le Temps de l'innocence, Scorsese n'a pas tourné dans sa ville depuis Les Affranchis en 1989. C'est donc un New York transformé qu'il va mettre en scène dans À tombeau ouvert. D'emblée, il annonce la couleur, avec une phrase en exergue film The takes place in New York City ». Précision à première vue superflue, puisqu'il y tourne depuis les années soixante... Sauf qu'ainsi, on entre de plain-pied dans le réel. Et en ajoutant, dans un second temps seulement In the early 90s », c'est comme s'il rattrapait un retard de dix ans. Il est temps pour lui de documenter ces années, qu'il a regardé passer de trop loin, et de compléter la cartographie qu'il dresse de New York depuis ses débuts. À tombeau ouvert, c'est un rendez-vous avec des fantômes. Ceux qui poursuivent Frank, l'ambulancier en burn-out hanté par les vies qu'il n'est pas parvenu à sauver. Ou ceux d'une ville en perpétuelle mutation On ne reconnaît même plus les putes ! », déplore l'un des personnages. Les dialogues mêmes répètent le mot fantôme » plus d'une quinzaine de fois. Les corps et les âmes que Frank tente de réanimer nuit après nuit vivent, survivent, comme des zombies. Ce ne sont plus des êtres humains. J'ai essayé de suggérer ce qui se passe dans la tête de Frank en jouant avec la narration en voix off et avec l'imagerie hallucinatoire de la ville ». Halos de lumière, fumées, brouillard, flous, visions délirantes, lumières verdâtres, ralentis... À travers le regard usé et désabusé de Frank, Scorsese souligne le glauque, le sordide. La fatigue, les ravages de la drogue. Et la mort qui règne dans l'enclave de Hell's Kitchen, qui colle à ses habitants. Scorsese fait dire à son héros, comme un prolongement de son propre vécu C'était le quartier où j'avais grandi, celui où je travaillais le plus. Et j'y croisais plus de fantômes au mètre carré que nulle part ailleurs ». Plan après plan, Scorsese dénonce en fait une réalité que la municipalité ne parvient pas à enrayer Les journaux new-yorkais ont vu un film d'époque parce qu'ils pensent qu'on ne voit plus de pauvres et de sans-abris dans la rue. Tant mieux pour eux si ça peut les rassurer, mais c'est faux. Le maire et les agents du gouvernement peuvent retirer les pauvres de la rue, ils continuent à subsister dans des abris insalubres, et la vie est toujours aussi dure pour eux. La prétendue restauration de New York depuis huit ans n'est qu'une opération de cosmétique. Même si c'est vrai que la ville est un peu moins dangereuse. » C'est là toute l'ambiguïté du travail de l'équipe de Rudolph Giuliani, que pointe sans indulgence À tombeau ouvert. Mais Scorsese aussi a changé. Elle est loin, l'effervescence de Taxi Driver Je ne suis plus un jeune homme, donc c'est un peu plus difficile pour moi de battre la semelle dans les bas quartiers. C'était moins pénible à l'intérieur de l'hôpital Bellevue, où notre décor était aménagé dans une aile désaffectée. Mais, là encore, on tournait de nuit, et passer 15 ou 16 heures d'affilée dans la salle des urgences n'est pas très plaisant. » La fatigue se fait plus facilement ressentir, et le tournage de nuit pose des problèmes pratiques Le plus stressant, ce fut la logistique liée à l'éclairage des rues. Chaque coin de rue a son éclairage propre et aussi ses acteurs et figurants mêlés aux passants. Dans ces conditions, un simple plan d'ambulance peut devenir un cauchemar. » Alors, au milieu de cette agitation, devant et derrière la caméra, Scorsese s'offre, en même temps qu'à son personnage et au spectateur groggy, quelques instants de répit, la propreté après la fange. D'abord une accalmie au bord de l'Hudson, entre deux missions. Ensuite, lorsque après les sirènes furieuses, les cris, l'hôpital survolté, Frank rentre chez lui au petit matin la rue presque déserte paraît plus propre, plus calme, et la caméra s'élève, comme apaisée, vers le ciel, dans une respiration nécessaire. Une parenthèse, seulement, car Scorsese montre une ville destructrice. Mary à Frank Cette ville peut vous tuer si vous n'êtes pas assez fort ! » Réponse Non, elle ne fait aucune différence. Elle attaque tout le monde. » New York est une prédatrice, vénéneuse, qui ensorcelle par l'illusion d'une beauté éternelle. Ainsi Cy, le dealer, blessé sur son balcon, prend le temps de regarder la skyline et de crier J'aime cette ville ! » Une scène de tournage mémorable Il était embroché au vingtième étage d'un HLM de Manhattan à 4h30 du matin avec un cirque infernal à ses pieds. Ça, c'est New York tout craché. » Une ville démentielle, mais aussi généreuse L'avantage, c'est que si j'ai besoin d'un plan d'ambulance tournant au coin d'une rue, j'ai un choix quasi illimité d'intersections. Si je n'ai pas le temps de faire le plan ce soir-là, je peux toujours le rattraper trois jours plus tard, quelques pâtés plus loin, sans avoir à déplacer toute la production. » À tombeau ouvert est un regard honnête sur New York. Un constat, ni amer, ni dupe, mais affectueux, qui réaffirme finalement tout l'amour nostalgique qu'il porte à sa ville. C'est là qu'on peut observer la condition humaine. Quels que soient les efforts du maire actuel, c'est toujours une jungle. Et je l'aime, cette jungle ! » C'est ma fascination pour le vieux New York qui m'a amené à passer deux années à réécrire Gangs of New York. À l'âge de 9 ou 10 ans, je vivais dans le Lower East Side, et quand je traversais le Bowery, ou me rendais à l'ancienne cathédrale Saint-Patrick ou à mon école catholique proche, j'étais déjà conscient que les fantômes m'entouraient. Gangs of New York 2002 Gangs of New York, ou les entrailles de la bête. La scène inaugurale, toute en caves et en souterrains, donne à voir un New York viscéral, grouillant, vivant, dont Martin Scorsese filmerait les artères impétueuses. Nous sommes en 1846, chaque rue, chaque quartier, est le théâtre de batailles sanglantes. Des guerres de territoires, fomentées dans les sous-sols de la ville, qui racontent une naissance au forceps À l'époque de Gangs of New York, le pays était encore en train de naître. Et il se trouve que l'accouchement avait lieu à New York. C'est ce qui m'avait attiré à l'origine, cet enfantement, ces combats d'où est née une nation d'un type nouveau. Si le melting pot ne réussissait pas à New York, il ne réussirait nulle part en Amérique. Le combat n'est du reste pas terminé. Ce pays est toujours dans les affres de l'accouchement, avec tous les conflits que cela implique. » Pour raconter cet avènement, Martin Scorsese reconstitue – à Cinecittà – le quartier de Five Points, dont les contours épousent pour partie la Little Italy de son enfance. Même 150 ans en arrière, le rapport du cinéaste à l'Histoire reste donc familier. Familial. Bill Cutting Daniel Day Lewis Mulberry Street... et Worth... Cross et Orange... et Little Water. Chaque rue des Five Points est un doigt. Quand je ferme la main, elles se transforment en poing. » Mulberry Street, donc. La parallèle de Mott Street, que fréquentait le jeune Martin quand il se rendait à la cathédrale Saint-Patrick C'est là, sans doute, que j'ai ressenti pour la première fois les vibrations de l'Histoire. J'y ai passé pas mal de temps quand j'avais 8 ou 9 ans. Je suis allé dans le cimetière la nuit. J'ai remarqué que les noms sur les tombes n'étaient pas italiens. Puis j'ai entendu parler de l'archevêque Hughes, une grande figure catholique des années 1840-60 qui rallia la Congrégation pour défendre l'Église contre un groupe nativiste. Tout cela a dû stimuler mon imagination. Cette section du bas de Manhattan me fascinait, avec ses rues pavées, ses vieux murs, tout ce que Saint-Patrick représentait. » Production gigantesque, Gangs of New York continue donc de travailler une des questions intimes du cinéma de Scorsese Little Italy comme un berceau, le quartier comme un village. Mais aussi New York comme autant de territoires à conquérir et à défendre. Film en costumes, Gangs of New York distille paradoxalement un discours plus contemporain, et plus politique que dans les autres films new-yorkais du cinéaste. Scorsese appuie là où ça fait mal malgré tous les efforts des différents maires de la ville, personne ne pourra en effacer l'Histoire, faite de massacres et de xénophobie. Le melting pot a été, et reste, une marmite prête à déborder. Gangs of New York raconte une ère préhistorique, comme l'Angleterre des tribus celtiques. C'est aussi l'ère de Tammany Hall et de la corruption politique. L'époque de l'"Amérique aux Américains", c'est-à-dire aux Anglo-Saxons. Le discours dominant était anti-immigrant, anti-irlandais, anti-catholique. Aujourd'hui, on veut nous faire croire que New York est une ville pacifiée. Rudolph Giuliani, l'ancien maire, a fait beaucoup pour imposer cette idée, mais New York est encore une jungle où les gens se battent pour survivre, pour avoir un peu d'espace et de liberté. Gangs of New York parle de ce monde, sur le point d'exploser. » Un monde que les New-Yorkais découvrent en salles en décembre 2002, un an après les attentats du World Trade Center. Meurtrie, réconciliée dans le deuil et la célébration mélancolique de sa grandeur, New York n'en reste pas moins une ville dont les fondations reposent sur un monceau de cadavres et de reliques honteuses, semble rappeler le cinéaste. Amsterdam Vallon Leonardo DiCaprio Ce n'était pas une ville. Mais une fournaise, sur laquelle serait bâtie, un jour peut-être, une ville. » Le dernier plan du film, formidable condensé de 150 ans d'Histoire, dit tout de ce paradoxe qui hante la ville. New York est une ville que l'on peut essayer de définir avec de nouveaux adjectifs à chaque fois. New York impose toujours son caractère à un film. On ne peut pas la reléguer en toile de fond, inerte. Elle ne fait jamais office de simple décor. C'est un terrain de charme et d'énigmes. Elle est épouvantable, magique, vulgaire... Le Loup de Wall Street 2013 Bien qu'il porte explicitement un titre new-yorkais », Le Loup de Wall Street ne s'inscrit pas tant dans le cœur de la ville que dans un rapport de va-et-vient entre la cité et sa périphérie. En ce début des années 2010, le New York qui a vu naître Martin Scorsese n'existe plus et le film se fait le reflet d'une partie du regard nouveau que porte le cinéaste sur sa ville. Via l'odyssée de Jordan Belfort, Scorsese écrit en creux une histoire du New York des années 90. Plus de ruelles sombres desquelles n'émergent que la flamboyance des néons, plus de faune nocturne. La ville est désormais faite de béton et de verre, nettoyée, aseptisée. Théâtre d'une violence devenue sourde, les loups de la finance y ont remplacé les chiens sauvages. Jordan Belfort entame son ascension au pied du saint des saints pour l'apprenti trader qu'il est le New York Stock Exchange. C'est au restaurant panoramique de la Rotschild que les ficelles du métier lui sont délivrées par un Matthew McConaughey en transe. En fond, la ville, offerte, ne demande qu'à se laisser conquérir par celui qui n'est encore qu'un louveteau, mi-enfant, mi-boy-scout. Contraint de quitter le cœur de la ville suite au krach de 1987, c'est de l'extérieur qu'il entamera son come-back par une plus petite porte, davantage à sa mesure d'alors. Les immeubles aux dimensions vertigineuses qu'on ne peut saisir qu'en contre plongée cèdent leur place aux restaurants cheap et aux garages miteux. À la verticalité de Manhattan s'oppose l'horizontalité d'une proche banlieue terne et vulgaire. Lancé sur la voie d'un succès célébré dans une villa cossue sur la côte nord de Long Island, c'est en triomphateur que Jordan revient au cœur de New York. La ville exhibe alors ses atours les plus luxueux comme autant de symboles de réussite. Jordan enterre son ancienne vie en officialisant sa relation avec la sculpturale Naomi au pied de la Trump Tower et installe sa duchesse dans un penthouse depuis lequel le regard embrasse une ville qui aujourd'hui lui appartient. La demande en mariage formulée au Four Seasons se concrétisera hors de la ville, à Oyster Bay, inaugurant ainsi une nouvelle étape du parcours de Jordan, vers un nouveau territoire à la mesure du chef de meute qu'il est devenu. Manoir gigantesque, country club fastueux, le troisième âge de la vie de Jordan est celui d'une démesure que Manhattan ne peut plus contenir. C'est dans la North Cove Marina où est arrimé le yacht de Jordan qu'ont pris racine les germes de sa destruction. Elle s'accomplira sur le tarmac de l'héliport de Chelsea. La ville a détruit celui qui s'est laissé griser par ses lumières aveuglantes. Icare s'est heurté à la skyline new-yorkaise. 2015. Pour la première fois depuis Mean Streets, Martin Scorsese revient à Little Italy, sur les lieux de son enfance et de ses premiers tournages. Il y tourne Vinyl », sa nouvelle série télé pour HBO. Et répond aux questions de Kent Jones, pour la Cinémathèque française. Comment New York a-t-il changé ? New York est tout le temps en train de changer. C'est comme la vieille blague à propos de la Rome antique Ce sera une ville magnifique quand ils arrêteront de la construire ! » La ville où j'ai grandi n'existe plus. Heureusement, au lieu d'être rasé, au lieu d'être détruit, ce quartier de Downtown – Elizabeth Street, Mott, Mulberry, Houston –, a été reconstruit d'une certaine manière, et certains vieux immeubles sont encore debout et les gens y vivent encore. Est-ce qu'on peut appeler cela une gentrification ? Oui, ce qui veut simplement dire que nous n'y sommes plus à notre place. » J'y suis allé l'année dernière, je filmais l'épisode pilote d'une série sans titre pour HBO sur le rock and roll, et bien sûr, ah ! C'était juste incroyable, il y a eu une dispute et un jeune homme très agressif s'est mis à hurler "Nous sommes tous des êtres humains ici, vous ne pouvez pas penser qu'à tourner votre film !" Parce que nous avions tous nos véhicules, nous filmions et gênions tout le monde. Ce jeune homme ne pouvait pas comprendre que ma mère et mon père avaient vécu à peine plus loin, que c'était là que j'allais jouer. Que Mean Streets s'était passé au coin de cette rue, qu'untel avait été tué dans un club associatif du quartier – qui est devenu maintenant une friperie, ou plutôt une boutique vintage... » Il n'y avait pas moyen d'expliquer à ce gamin, qui ne venait évidemment pas de là, que moi je venais de là. Que c'était chez moi, mais que ce n'est plus chez moi. Et que j'étais en train de tourner dans Jersey Alley, l'endroit où nous venions jouer enfants. Là même où, après avoir vu La Prisonnière du désert, nous nous amusions à rejouer les scènes du film... » Extraits des films Who's That Knocking at My Door – Martin Scorsese, 1968 © Warner Bros. Mean Streets – Martin Scorsese, 1973 © Warner Bros. Taxi Driver – Martin Scorsese, 1973 © Columbia Pictures Raging Bull – Martin Scorsese, 1980 © UIP La Valse des pantins – Martin Scorsese, 1983 © Embassy International Pictures After Hours – Martin Scorsese, 1985 © Warner Bros. New York Stories – Martin Scorsese, 1988 © Warner Bros. Les Affranchis – Martin Scorsese, 1989 © Warner Bros. Le Temps de l'innocence – Martin Scorsese, 1992 © Columbia Pictures À Tombeau ouvert – Martin Scorsese, 1999 © Walt Disney Company Gangs of New York – Martin Scorsese, 2000 © Miramax Le Loup de Wall Street – Martin Scorsese, 2013 © Metropolitan Film Export Bibliographie Collectif, Martin Scorsese, Silvana Editoriale / La Cinémathèque française, 2015 Thierry Jousse, Thierry Paquot, La Ville au cinéma, Éditions Cahiers du cinéma, 2005 Patricia Kruth, Figures filmiques les mondes new-yorkais de Martin Scorsese et Woody Allen, ANRT, 2000 David Thompson, Ian Christie, Scorsese on Scorsese, Faber and Faber, 1989 Michael Henry Wilson, Martin Scorsese, Éditions Cahiers du Cinéma / Centre Pompidou, 2005 Cahiers du Cinéma, n° 500, mars 1996
Synecdoche New York peut être pris pour une réflexion sur les orientations que l’on donne à sa vie.Choisir de la vivre ou s’accrocher à un douloureux passé : le prétexte pour la regarder de l’extérieur en la mettant en scène, à la manière d’un dramaturge.
Jérémy Nichols✸✸✸✸✸✸✸Je suis le fondateur ♕ Mar 5 Déc - 1918 RPons à l'ancienne LA VILLE QUI NE DORT que nous nous battons pour retrouver nos anciens était une fois ...New York prononciation en anglais américain /nuːˈjɔɹk/, officiellement nommée City of New York, connue également sous les noms et abréviations de New York City ou NYC, est la plus grande ville des États-Unis en termes d'habitants et l'une des plus importantes du continent américain. Elle se situe dans le Nord-Est des États-Unis, sur la côte atlantique, à l'extrémité sud-est de l'État de New York. La ville de New York se compose de cinq arrondissements appelés boroughs Manhattan, Brooklyn, Queens, le Bronx et Staten Island. Ses habitants s'appellent les New-Yorkais en anglais New Yorkers.RPons à l'ancienne, c'est plus facile que l'on pourrait le penser. De nos jours, le RP a tellement évoluer qu'il est souvent très difficile de s'intégrer et de s'y retrouver sur un nouveau forum. Entre nouvelles règles et évolution de la partie esthétique, c'est beau, certes mais nous, nous préférons ce que nous avons connu avant. C'est tout à fait possible et voici comment nous allons procéder Nous sommes à New York. Nous y sommes nés ou nous voulons vivre le rêve américain et pour cela, rien de mieux que la grosse pomme. Quatre point principaux ressortent. Il y a les habitants natifs ou non qui vivent d'amitié, d'amour, de trahison, de sexe, d'alcool et de drogue. Ensuite, il y a les médecins. Internes, résidents, titulaires ou chefs, ils se battent au quotidien pour atteindre les sommets de leur carrière et sauver un maximum de vie. Mais aussi les artistes. Ils suivent une formation en arts de la scène afin de se perfectionner au plus haut niveau. Ils chantent, ils dansent et ils jouent la comédie. Pour finir, il y a les étudiants. Ils rêvent d'un métier dans lequel ils grimperont les échelons d'une belle et grande carrière. Boursier ou non, ils ont intérêts à s'accrocher autant dans leur scolarité que pour en payer les frais et pouvoir continuer. La vie d'étudiant est loin d'être facile. Et vous, êtes vous tenté ?InformationsRPons à l'ancienne a pré-ouvert ses portes le et a ouvert de manière définitive, le sur RPons à l'ancienne. Nous comptons actuellement 33 New Yorkais qui ont envoyés et reçus un total de 3 738 SMS. Le dernier à avoir posé ses valises dans la ville qui ne dort jamais est Thaïs Strauss. Lors du dernier événement, le les habitants étaient nombreux à envahir Times Square avec un total de 44 !Le forum est entièrement administré par Sarah St James Charlie, Carter St James Mimine et Lewis Steiner Breakdown.Le forum exige un minimum de 150 mots par nous sommes à la recherches de quelques scénarios importants que vous pourrez trouver ici, pour les filles et là, pour les règles d'or❥ Forum RPG à l'ancienne City avec une partie surnaturelle indépendante. Veuillez consulter les règles. ❥ Votre pseudo se composera uniquement d'un Prénom et d'un Nom. ❥ Chaque avatar est à usage unique donc disponible une seule et unique fois, hormis en cas de jumelage. ❥ Un minimum de 150 mots par RP écrit est exigé. ❥ Une activité minimal RPGique est exigée 1 RP toutes les deux semaines. ❥ Le respect d'autrui demeure la règle la plus importante, que ce soit en RP ou IRP.©️ EYLIKA & CHARLIE.
NewYork, 1858. Ayant quitté sa Pologne natale pour améliorer son sort, Youssef débarque en Amérique et décide d'opérer dans le domaine de l'import-export. New York, 1858. Ayant quitté sa Pologne natale pour améliorer son sort, Youssef débarque en Amérique et décide d'opérer dans le domaine de l'import-export. Passer au menu d'en-tête Passer au contenu. Se connecter
Les retour des "braqueuses" aux Jeux Olympiques méritait bien que je partage une nouvelle fois avec vous nos aventures estivales. Si vous êtes fans de basket, vous avez certainement su que nous nous étions qualifiées pour les JO de Rio lors d'un tournoi pré-olympique en France, en juin dernier. Après un mois de préparation suite à ce tournoi et un court séjour à New York avec l'équipe, nous sommes finalement arrivées à Rio il y a une semaine. Depuis le temps que nous attendions ce moment! L'humeur était donc à l'enthousiasme voir à la franche rigolade lorsque nous avons pris possession de nos appartements, à notre arrivée au village olympique. Les retour des "braqueuses" aux Jeux Olympiques méritait bien que je partage une nouvelle fois avec vous nos aventures estivales. Si vous êtes fans de basket, vous avez certainement su que nous nous étions qualifiées pour les JO de Rio lors d'un tournoi pré-olympique en France, en juin dernier. Après un mois de préparation suite à ce tournoi et un court séjour à New York avec l'équipe, nous sommes finalement arrivées à Rio il y a une semaine. Depuis le temps que nous attendions ce moment! L'humeur était donc à l'enthousiasme voir à la franche rigolade lorsque nous avons pris possession de nos appartements, à notre arrivée au village olympique. Il faut savoir que l'immeuble de la France, une tour de 18 étages, est l'un des plus imposants du village. Nous le partageons avec le Sénégal, Andorre et Monaco qui ont des délégations plus modestes. La colonie française a ses logements entre les 5ème et 18ème étage. Les deux équipes basket se trouvent presque tout en haut, au 17ème. Les handballeuses et handballeurs sont au dernier étage. Des chambres, nous avons une magnifique vue panoramique sur tout le village. Sur cette campagne, ma roomate est Olivia Epoupa, sans doute l'un des futurs piliers de cette équipe de France. Il n'y avait pas trop le temps de flâner. Nous nous sommes même entraînées deux fois dans la salle avant le début de la compétition, c'est assez rare pour le souligner. Par la suite, tout s'est enchaîné. La blessure de Céline Dumerc, son forfait, la cérémonie d'ouverture. La blessure de Céline nous a franchement pris de court. A aucun moment, nous n'imaginons, à 48h du début de la compétition, que l'une d'entre nous n'y participera pas. Encore moins Céline Dumerc qui était notre leader et notre meneuse de jeu. Personnellement, sa blessure a fait l'effet d'une douche froide. En tant qu'athlète de haut niveau, les JO constituaient certainement un objectif important pour elle. Son absence est un vrai coup dur. Dans notre malheur, nous avons eu la chance que tout cela soit arrivé suffisamment tôt pour que nous puissions faire appel à une nouvelle joueuse pour la remplacer. Cette joueuse, c'est Amel Bouderra qui a été désignée meilleure joueuse du championnat français l'année passée. Ce n'est pas n'importe qui. J'ai eu l'occasion de la rencontrer et j'ai appris à la connaître il y a quelques mois. J'ai totalement adhéré à ce choix. Nous avons également dû désigner la nouvelle capitaine de l'équipe. Valérie Garnier, notre coach, nous a laissé le choix de la capitaine par intérim et c'est moi qui ait été choisie. Ce n'est pas facile de passer derrière "Caps". C'est une joueuse extraordinaire qui a permis à l'équipe de France d'être mise en lumière dans les médias. Même si toute l'équipe a eu son rôle à jouer lors des Jeux Olympiques de Londres en 2012, c'est grâce à Céline et ses shoots incroyables que nous avons fait un si beau parcours. Elle a été une ambassadrice de luxe. Et ce n'est pas évident d'endosser ce costume dans de telles circonstances. La compétition allait bientôt commencer et nous n'avions, de toute façon, pas le temps de tergiverser. Je ne suis pas Céline Dumerc. Je suis Isabelle Yacoubou. Je suis une personne extrêmement émotive et expressive. C'est avec mes moyens que je tenterai de guider cette équipe vers notre objectif commun tout donner pour ne rien regretter et aller chercher un résultat en prenant les matches l'un après l'autre. Quand cela sera dur, on pourra aussi compter sur moi dans le combat. C'est aussi pour cela, je pense, que les filles m'ont choisie. Ensuite, est venue l'heure de rejoindre le groupe France pour la cérémonie d'ouverture. Nous y sommes allées avec un goût salé-sucré. D'abord la tristesse de devoir laisser Céline au village car elle n'avait pas pu obtenir l'autorisation de participer à la cérémonie. Nous lui avons dit au revoir avec un pincement au cœur. Et quand tu rentres dans le stade, d'autres émotions t'envahissent. Nous étions comme des gamines! Un moment d'une rare magie. Mais le retour à la réalité a été rapide puisque nous jouions le lendemain à 12h... Nous avons joué notre premier match face à la Turquie. Dans un premier temps, Céline avait fait le choix de rester avec le groupe. Elle était en bord de terrain et nous avons pu bénéficier de son soutien et de ses conseils. Nous n'avions pas fait un très belle entame sur cette rencontre et ses mots à la mi-temps nous ont rassuré. Elle nous a demandé de nous faire confiance à nous-mêmes et de lâcher les chevaux. C'est ce que nous avons fait. Les Turques ne sont jamais évidentes à jouer, mais nous avons réussi à prendre le dessus en seconde mi-temps. Le lendemain, re-belotte puisque nous jouions la Biélorusse. Une équipe qui avait perdu la veille et qui se retrouvait déjà dos au mur. Ce fut un match incroyable! Le retour des "Braqueuses"... Les Biélorusses ont été d'une adresse insolente. Elles ont shooté à 76% en première mi-temps. Mais nous avons mis beaucoup d'énergie sur le terrain et surtout au rebond. Nous n'avons perdu que 13 ballons et nous avons pris 22 rebonds offensifs, preuve que nous nous sommes jetées sur tous les ballons. Avec du recul, je tiens vraiment à souligner que cette chance, que tout le monde nous attribue sur cette victoire, nous l'avons provoqué. Nous avons réussi à limiter notre adversaire au rebond. Cette défense et ce travail nous ont permis de rester au contact des Biélorusses. Nous sommes revenues au score grâce à cette énergie que nous avons mis dans des détails qui ont fait la différence à la fin de la rencontre. La fin a été incroyable. Olivia pénètre dans la raquette et me fait une passe. Je shoote mais je ne marque pas. Je touche le ballon au rebond, celui-ci retombe dans la main d'Olivia qui donne le ballon de la victoire à Endy Miyem. Une victoire à l'arrachée! Après toutes ces émotions, c'était repos hier. Une première depuis notre arrivée! Je ne suis pas sortie du village olympique mais j'ai eu droit à une session de décrassage en salle de musculation. J'ai été un peu ménagée à cause de mes genoux. Ce sont les privilèges de l'âge. Toute à l'heure, nous allons livrer un véritable combat face à l'Australie. J'espère que vous aurez l'occasion de nous suivre et de nous soutenir. Rendez-vous à 17h! Également sur Le HuffPost
CE JOUR-LÀ] Dans la soirée du 21 mai 1927, un jeune américain en provenance de New York posait son monoplan, le Spirit-of-Saint-Louis, sur la piste de l’aéroport du Bourget, près de
Le suspect est poursuivi pour "tentative de meurtre et agression". KEYSTONE/AP/Gene J. Puskar sda-ats Ce contenu a été publié le 14 août 2022 - 1137 Keystone-ATS L'assaillant de Salman Rushdie, un jeune Américain d'origine libanaise, a été présenté samedi soir à un juge devant lequel il a plaidé "non coupable" de "tentative de meurtre". L'écrivain restait, lui, hospitalisé dans un état grave, mais il a pu dire quelques mots. Lors d'une audience de procédure au tribunal de Chautauqua, Hadi Matar, 24 ans, poursuivi pour "tentative de meurtre et agression", a comparu en tenue rayée noire et blanche de détenu, menotté et masqué, et n'a pas dit un mot, d'après le New York Times et des photos de la presse locale. Le suspect, qui vit dans le New Jersey, a plaidé "non coupable" par la voix de son avocat. Il comparaîtra une nouvelle fois vendredi prochain. Rushdie a recommencé à parler Les procureurs ont estimé que l'attaque de vendredi dans un centre culturel de Chautauqua, où M. Rushdie allait donner une conférence, était préméditée. L'intellectuel de 75 ans, menacé de mort depuis une "fatwa" de l'Iran de 1989, un an après la publication des "Versets sataniques", a été poignardé au moins à dix reprises au cou et à l'abdomen. Samedi, les autorités et les proches de Salman Rushdie ont gardé le silence sur l'état de santé du Britannique naturalisé Américain. Il a été hospitalisé vendredi sous assistance respiratoire à Erié, en Pennsylvanie, au bord du lac qui sépare les Etats-Unis du Canada. Toutefois, son agent Andrew Wylie, alarmiste vendredi soir dans le New York Times, a simplement confié au journal que son client avait recommencé à parler samedi soir, sans dire s'il restait ou pas sous assistance respiratoire. Vie normale à New York Vivant à New York depuis vingt ans, Salman Rushdie avait repris une vie à peu près normale tout en continuant de défendre, dans ses livres, la satire et l'irrévérence. Coïncidence, le magazine allemand Stern l'a interviewé il y a quelques jours, avant l'attaque "Depuis que je vis aux Etats Unis, je n'ai plus de problème ... Ma vie est de nouveau normale", assure l'écrivain, dans cet entretien à paraître in extenso mercredi, en se disant "optimiste" malgré "les menaces de mort quotidiennes". La "fatwa" de l'Iran n'a de fait jamais été levée et beaucoup de ses traducteurs ont été blessés par des attaques, voire tués, comme le Japonais Hitoshi Igarashi, poignardé à mort en 1991. Les "Versets sataniques" sont jugés par les musulmans les plus rigoristes comme blasphématoires à l'égard du Coran et du prophète Mahomet. Onde de choc L'attentat provoque une onde de choc, surtout dans les pays occidentaux le président américain Joe Biden a condamné "une attaque brutale" et rendu hommage à M. Rushdie pour son "refus d'être intimidé et réduit au silence". Le philosophe français Bernard-Henri Lévy a lui demandé que le Nobel de littérature soit remis à "cet écrivain puni pour avoir écrit, depuis trente ans, des textes libres et qui rendent libre". Selon lui, "cet acte de terreur absolue qui, par-delà son corps poignardé et ses livres, est une terreur sur tous les livres et tous les mots du monde, appelle une riposte éclatante". Le chef du gouvernement israélien Yair Lapid a quant à lui assuré que cet attentat est "le résultat de décennies d'incitation au meurtre par le régime extrémiste iranien". L'attaque saluée en Iran et au Pakistan L'attaque a en revanche été saluée par des extrémistes en Iran et au Pakistan. Le quotidien ultraconservateur iranien Kayhan a félicité l'assaillant "Bravo à cet homme courageux et conscient de son devoir qui a attaqué l'apostat et le vicieux Salman Rushdie", écrit le journal. "Baisons la main de celui qui a déchiré le cou de l'ennemi de Dieu avec un couteau". Et au marché aux livres de Téhéran, Mehrab Bigdeli, un religieux chiite, s'est dit "très heureux d'apprendre la nouvelle. Quel que soit l'auteur, je lui baise la main ... Que Dieu maudisse Salman Rushdie". Au Pakistan voisin, le parti Tehreek-e-Labbaik Pakistan - réputé pour sa violence contre ce qu'il considère comme du blasphème antimusulman - a jugé aussi que Rushdie "méritait d'être tué".
NewYork est sans conteste l’une des villes au monde ayant la plus grande influence et étant également la plus présente dans le cœur et l’esprit des gens, et de fait, beaucoup de non-américains en visite aux États-Unis ont limité leur voyage à New York.
Les dernières nouvelles et Hot en temps réel. mathieu gallardmathieugallard🇺🇲🗳️ Un autre scrutin qui montre que les démocrates sont en relativement bonne forme à l'approche des élections de mi-mandat dans l'élection partielle pour désigner le Représentant du 19ème district de l'Etat de New York, le candidat démocrate l'emporte assez 0933J'aime:81 Retweets:17 Tweet URLAgence France-Presseafpfr"Malheureusement, je ne serai pas en mesure de me rendre à New York cette fois pour l'US Open ...", écrit-il sur Twitter. "Je vais me maintenir en bonne forme et dans un état d'esprit positif en attendant de pouvoir reprendre la compétition" AFPAug-25,2022 1637J'aime:69 Retweets:14 Tweet URLememzmzememzmz1New Rochelle prononcé en anglais [ˌnuː ɹəˈʃɛl] ou La Nouvelle-Rochelle est une ville de la banlieue nord de New York, située dans le comté de Westchester, dans l'État de New York, aux États-Unis. La ville est fondée en 1688 par des réfugiés huguenots protestants français,Aug-25,2022 2148J'aime:4 Retweets:0 Tweet URLTiewy971tiewy971lequipedusoir le problème de la vaccination n'est pas aux États-Unis mais juste l'état de New York.. d'ailleurs il y a eu une dérogation pour les joueurs de basket des nets qui peuvent jouer sans être 2042J'aime:0 Retweets:0 Tweet URL L’actualitéLactualiteIl est long, le temps de la haine. L’attentat contre Salman Rushdie, poignardé le 12 août sur une scène de Chautauqua, dans l’État de New York, en est un brutal 1803J'aime:4 Retweets:0 Tweet URLSoniadoubi65Soniadoubi655OFrayssinet lequipe New York en tant qu’Etat “démocrate” a sa propre législation est est gangrené par les Ripoux et la Corruption. Voir le Maire de New York un gros corrompu Mafieux. Terrible pour l’Etat de NewYork et une HONTE un DÉSHONNEUR TOTAL pour la fédération 🇺🇸 De 🎾 👀👹⚠️🤮👎🏻👎🏻👎🏻👎🏻Aug-25,2022 1740J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLSoniadoubi65Soniadoubi655Novak Djokovic; un IMMENSE CHAMPION comme on en verra plus; PRIVÉ de usopen parce que l’Etat de New York Ultra Corrompu l’en empêche car a légiféré qu’il fallait s’injecter le poison 💉☠️⚠️ pour entrer dans le territoire. Quelle HONTE pour NewYork et et usta 👀⚠️👹🤮👎🏻👎🏻👎🏻Aug-25,2022 1732J'aime:1 Retweets:2 Tweet URL Dernières nouvellesMatthieu Valet Si on n'oblige pas les pays d'origine à récupérer leurs ressortissants comme la France récupère ses voyous dans le monde, on n'y arrivera pas» dans PunchlineAug-25,2022 1809J'aime:349 Retweets:120 CNEWS CNEWS Voir les derniers classements Agence France-Presseafpfr"Malheureusement, je ne serai pas en mesure de me rendre à New York cette fois pour l'US Open ...", écrit-il sur Twitter. "Je vais me maintenir en bonne forme et dans un état d'esprit positif en attendant de pouvoir reprendre la compétition" AFPAug-25,2022 1637J'aime:69 Retweets:14 Tweet URLTristan CabellotristancabelloSi la gauche progressiste reste minoritaire à NY, ses avancées n’en sont pas moins marquantes. Durant les quatre dernières années, les New Yorkais ont élu deux conseillers municipaux, huit législateurs d'État et un membre du Congrès issue de ses rangs. 1529J'aime:2 Retweets:0 Tweet URL Simon GrivetSimonGrivet5. Après la victoire d'un démocrate pro-IVG dans une législative partielle de l'Etat de New York, il est moins sûr que les Républicains connaissent un triomphe en novembre. Cela sera peut être plus serré qu'annoncé... 0829J'aime:4 Retweets:1 Tweet URLPhilippephlpcL'état de New York veut limiter la vitesse des voituresAug-24,2022 1919J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLFrance TV WashingtonF2Washington🔴 Egalement au primaire démocrate du 22e district de l'état de New York, c'est le vétéran de la Navy Francis Conole qui devance légèrement une conseillère municipale, Sarah Klee HoodAug-24,2022 1704J'aime:2 Retweets:1 Tweet URLFrance TV WashingtonF2Washington🔴 Dans le 10e district de l'état de New York, l'ancien procureur fédéral Daniel Goldman a remporté les primaires démocrates par 2 points, devant la membre de l'assemblée Yuh-Line Niou. Il représentera le parti pour les élections à la Chambre des représentants en novembreAug-24,2022 1704J'aime:1 Retweets:1 Tweet URL Dernières nouvellesSempé est devenu en 40 ans une icône new-yorkaise en signant plus de 110 couvertures du prestigieux magazine culturel The New Yorker qui rend ce mois-ci hommage à ce génie discret du dessin humoristique, tout juste disparu par NicolasRevise AFPAug-25,2022 2300J'aime:32 Retweets:10 Agence France-Presse afpfr Voir les derniers classements NBM-MNBnbmmnbLe spécimen original, collecté dans les monts Adirondacks de l’État de New York, existe toujours et il a été confirmé qu’il représente une espèce de 1426J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLL’actualitéLactualiteIl est long, le temps de la haine. L’attentat contre Salman Rushdie, poignardé le 12 août sur une scène de Chautauqua, dans l’État de New York, en est un brutal 1320J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLSimon GrivetSimonGrivet4. L'excellent site voxdotcom presente un panorama de ces dernières primaires en Floride et dans l'etat de New York importance de la question de l'ivg, défaite des progressistes, victoire des modérés démocrates et des trumpistes fanatiques... 1001J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLmathieu gallardmathieugallard🇺🇲🗳️ Un autre scrutin qui montre que les démocrates sont en relativement bonne forme à l'approche des élections de mi-mandat dans l'élection partielle pour désigner le Représentant du 19ème district de l'Etat de New York, le candidat démocrate l'emporte assez 0933J'aime:81 Retweets:17 Tweet URLjean-eric branaaBranaaJeanLe démocrate Pat Ryan a remporté une élection partielle dans l'État de New York pour un siège à la Chambre des représentants. ▶️ Il a battu le républicain Marc Molinaro lors de la première élection concurrentielle depuis que la Cour suprême est revenu sur le droit à l' 0927J'aime:134 Retweets:17 Tweet URLCorneille W.CWandjoBatoaWeber J me demande moi aussi.. ils ont tout, l'argent volé, les engins détournés, la Mo. forcée, les espace à gogo... mais pourquoi ne pas faire un ptit New York, ds un coin perdu plutôt que spolié les biens d'autrui surtout de l'état ? Abima kaka, et les autres 0824J'aime:1 Retweets:0 Tweet URLVOA AfriqueVOAAfrique🇺🇸 Un mois après une décision de la cour suprême sur le contrôle des armes à New York, VOAAfrique est allé dans l’Etat voisin du New Jersey où la question fait également 0800J'aime:14 Retweets:4 Tweet URLRafael JacobRafJacobRésultats particulièrement encourageants pour les démocrates dans l'État de New York ce soir. Une élection spéciale gagnée qu'ils auraient dû perdre, une autre serrée qui n'aurait pas dû l'être. Le mouvement est réel. La "vague" républicaine de novembre paraît de + en + 0558J'aime:220 Retweets:19 &nlank'>DOUKOURÉ OusmaneKongaMoryMohamed Fakaba Bamba, dit Mo Bamba, né le 12 mai 1998 à Harlem dans l'État de New York, est un joueur américain de basket-ball évoluant au poste de pivot. Il est choisi en 6ᵉ position par le Magic d'Orlando lors de la draft 2018 de la NBA. WikipédiaAug-23,2022 2156J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLClementClementFavaronDans l’état de New York, les primaires concernent les 26 sièges à la House Congrès et les sièges du sénat de l’état State Senate. Les autres primaires ont déjà eu lieu en juin, mais celles-ci ont été repoussées après un processus l’annulation des nouvelles cartes 1522J'aime:0 Retweets:0 Tweet Yanis_TignardLArribage FraPiquemal Jouer aux échecs en ligne contre l'ordinateur ! Rodney Steiger, dit Rod Steiger, né le 14 avril 1925 à Westhampton dans Les Hamptons, État de New York et mort le 9 juillet 2002 à Los Angeles, est un acteur américain c'est le Victor Komarovsky du Docteur Jivago ! TAYAug-23,2022 1209J'aime:0 Retweets:1 Tweet URLRobot De l'InfoRDelinfoWall Street finit en baisse, plombée par les craintes sur la Fed et l'économie - PARIS Reuters - La Bourse de New York a fini en nette baisse lundi, les investisseurs ayant privilégié les actifs jugés plus sûrs comme les emprunts d'Etat et le dol...Aug-22,2022 2330J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLPhotos HistoriquesPhotohistorikDes représentants du Japon impérial, des États-Unis et de l'Allemagne observent des manœuvres militaires américaines dans le nord de l'État de New York, le 22 août 1939Aug-22,2022 2030J'aime:22 Retweets:5 Tweet URLLDeR 🇺🇦🇪🇺🇫🇷Voltphrey🇺🇸 Demain, primaires dans l'état de New York. Celles-ci ne concernent que les districts de la chambre des représentants. Côté démocrate, les affrontements sont entre aile gauche et modérés, dont un entre deux sortants de l'aile gauche dans le 12e district redessiné.Aug-22,2022 1501J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLFrédéric ArnouldFredericArnouldDans le nord de l'État de New York, des élections spéciales de mardi dans un district pivot sont devenues un terrain d'essai crucial pour les stratégies politiques des deux principaux partis en matière d' 1353J'aime:4 Retweets:1 Tweet URLRASEK 🐭rasekrasekLe premier cas de poliomyélite en près d'une décennie est détecté dans l'État de New York - The New York Times La faute à …. ????Aug-22,2022 1151J'aime:23 Retweets:13 Tweet URLFreelance, ESPACE DEespace_deLe Sénat de l'État de New York bloque les citoyens sur Twitter, une mesure anticonstitutionnelle visant à écraser la dissidence Jade_EM2022 EmmanuelMacron En tout état de cause je ne sais pas si l'aide Américaine a fait la différence à Stalingrad j'ai un doute là dessus, mais vous non plus ;- Par contre ce que je sais c'est que le million d'homme qui a encerclé les troupes Allemandes étaient de Sibérie et pas de New YorkAug-21,2022 1750J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLBLACK MAMBA AntiPassSanitaireAristoTogo‼️L'armée russe attaque New York de deux côtés, - État-major des forces armées ukrainiennes Dans la région de Gorlovka, une attaque contre New York est en cours des deux côtés - du sud de Novoselovka, de l'est de Zheleznaya Beam. Les combats se poursuivent là-bas, selon un résuméAug-21,2022 1609J'aime:35 Retweets:9 Tweet URLInto The Beer 🍻IntoTheBeer🇺🇸 On poursuit à Oceanside, Long Island, État de New York aux États-Unis avec cette Core », une India Pale Ale se voulant à Vol. et brassée par la Barrier Brewing Company. Découverte sur Qbeer, la bière offre à l’œil une robe dorée bien hazy surmontée d’une mousse 1443J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLInto The Beer 🍻IntoTheBeer🇺🇸 Petite soirée dégustation improvisée et on entame avec des bières américaines en startant par une trilogie découverte via Qbeer de la Barrier Brewing Company située à Oceanside, Long Island dans l’État de New York aux USA avec la Deadly Combination Columbus + Mosaïc ».Aug-21,2022 1312J'aime:2 Retweets:0 Tweet URLㄖㄒ卄乇几ㄒҜ 🐍Othentik225Prom_Ivoire Pays d'origine ou Terre natale CM ? 🧐 Mohamed Fakaba Bamba, dit Mo Bamba, né le 12 mai 1998 à Harlem dans l'État de New York, est un joueur américain de basket-ball évoluant au poste de pivot. Source WikipédiaAug-21,2022 1302J'aime:9 Retweets:0 Tweet URLUkraine Russia War Invasion Breaking News TelegramUkraineBreakNewL'état-major général des Forces armées ukrainiennes rapporte que les troupes ukrainiennes, sous la pression de nos troupes, sont contraintes de se replier à Blagodatnoe près de Nikolaev et à New York. Les combats se déroulent sur le territoire des colonies. Une partie de B…Aug-21,2022 0900J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLL'essentiellessentiel🇺🇸 C’est allé si vite. C’était quasiment terminé avant que cela n’ait commencé». Des témoignages évoquent l’agression subie par l’écrivain SalmanRushdie au nord de l’État de New York, le 12 août dernier. USAAug-21,2022 0830J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLLe MatinLematinchDes témoignages évoquent l’agression subie par l’écrivain Salman Rushdie au nord de l’État de New York, le 12 0802J'aime:2 Retweets:0 Tweet URLjean marc jublotJeanmarcJublotJeanYvesCAPO effarant Le Dr Cameron Kyle-Sidell, médecin au Maimonides Medical Center de New York, rapporte que l’utilisation de respirateurs artificiels aurait entraîné une aggravation de l’état des patients Covid, entraînant leur décès sns_fb2'> Tweet URLJean Marc MorandinimorandiniblogLe suspect de l'attaque contre Salman Rushdie plaide non coupable de tentative de meurtre et d'agression devant un tribunal de l'Etat de New York - VIDEOAug-19,2022 1132J'aime:5 Retweets:2 Tweet URLCandide Kipulu journalisteCandideKipuluEtatsUnis Le suspect de l'attaque contre Salman Rushdie a plaidé jeudi non coupable de tentative de meurtre et d'agression devant un tribunal de l'Etat de New York, lors d'une première comparution après son inculpation par un grand jury. TV5Aug-19,2022 1058J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLMoussa Joseph Faye 🇸🇳JolayeEtatsUnis Le suspect de l'attaque contre Salman Rushdie a plaidé jeudi non coupable de tentative de meurtre et d'agression devant un tribunal de l'Etat de New York, lors d'une première comparution après son inculpation par un grand jury. TV5Aug-19,2022 1057J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLUpbm-assoUpbmAssoLes services de santé de l'État et de la ville de NewYork viennent de publier une déclaration informant les résidents que le poliovirus a été détecté dans les eaux usées de la ville de New York, suggérant qu'il circule localement. 1046J'aime:1 Retweets:0 Tweet URLλάφφρευχ🇮🇲🇫🇷🇮🇹thomas_laffreuParis ressemble de plus en plus au New York des 70´s c'est terrifiant. Et surtout le métro. Ils en ont plus rien a foutre de l'état. La j'ai pas de lumière, du vomi et des graphes partout. Merci hidalgo et la ratpAug-19,2022 0823J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLOlivier RameauOlivierRameau1france_soir "Quant à une réunion d’urgence du Conseil, il a déclaré que la décision appartenait à ses membres. Le Mali n’est pas membre du Conseil de sécurité et sa demande doit être relayée par un État membre. Un diplomate a jugé ... à New York "improbable" qu’une telle réunion ait lieu".Aug-19,2022 0734J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLLN24LesNews24Le suspect de l'attaque contre Salman Rushdie a plaidé non coupable de tentative de meurtre et d'agression devant un tribunal de l'État de New York 0723J'aime:2 Retweets:0 Tweet URLRobot De l'InfoRDelinfoAttaque contre Salman Rushdie le suspect plaide non coupable - Le suspect de l’attaque contre Salman Rushdie a plaidé ce jeudi 18 août non coupable de tentative de meurtre et d’agression dans un tribunal de Mayville, dans l’État de New York. Hadi Mat...Aug-19,2022 0440J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLRobot De l'InfoRDelinfoAttaque contre Salman Rushdie le suspect plaide non coupable - Le suspect de l’attaque contre Salman Rushdie a plaidé ce jeudi 18 août non coupable de tentative de meurtre et d’agression dans un tribunal de Mayville, dans l’État de New York. Hadi Mat...Aug-19,2022 0147J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLNicolas ReviseNicolasReviseHadi Matar, suspect de l'attentat contre Salman Rushdie le 12 août dans le nord de l'Etat de New York, au tribunal de Mayville Chautauqua le 18 août avec son avocat Nathaniel Barone. Vu par angelaweissfoto AFP New YorkAug-19,2022 0106J'aime:1 Retweets:Tweet URLHikayaHikayaDZDe retour ce soir au cœur de la ville Marienplatz où j'ai enfin manger. Des musiciens y jouaient "an English Man in New York" clin d'œil à mon état d'esprit lors de ce bref séjour en Bavière où tout est à si particulier, à commencer par l'accent. Particulier mais 0031J'aime:3 Retweets:0 Tweet URLNicolas ReviseNicolasReviseDu nouveau sur l'attaque contre Rushdie le suspect a plaidé non coupable de tentative de meurtre et d'agression devant un tribunal de l'Etat de New York, lors d'une première comparution après son inculpation par un grand jury, dans une affaire au retentissement 2317J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLRTSinfoRTSinfoLe suspect de l'attaque contre Salman Rushdie a plaidé jeudi non coupable de tentative de meurtre et d'agression devant un tribunal de Mayville, dans l'Etat de New 2315J'aime:2 Retweets:0 Tweet URLLe VifLeVifLe suspect de l’attaque contre Salman Rushdie a plaidé jeudi non coupable de tentative de meurtre et d’agression dans un tribunal de Mayville, dans l’Etat de New 2146J'aime:1 Retweets:0 Tweet URLLoup BlancLoupBlanc55ce sera ensuite plus intéressant ... 1 La ville de New York est le 11e État. 2 Il y avait 92 passagers 9+2=11 sur W11. 3. il y avait 65 passagers dans l'avion W77, qui a également fait escale à Gemini 6+5=11. 4. La tragédie a eu lieu le 11 septembre ou 1+1+9=11.Aug-18,2022 2133J'aime:0 Retweets:1 Tweet URLRadio-CanadaiciradiocanadaL'homme soupçonné d'avoir poignardé l'écrivain Salman Rushdie la semaine dernière dans l'état de New York a plaidé non coupable à des accusations de tentative de meurtre et d'agression. Il a été incarcéré sans possibilité de libération sous caution. 1949J'aime:8 Retweets:0 Tweet URLRobot De l'InfoRDelinfoNouvelle audience ce jeudi pour le suspect de l'attentat contre Rushdie - par Tyler Clifford MALVILLE, New York Reuters - L'homme soupçonné d'avoir poignardé le romancier Salman Rushdie la semaine dernière dans l'ouest de l'état de New York devai...Aug-18,2022 1944J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLFranoucheFFranouchevia franceinfo RUSHDIE Le suspect de l'attaque contre Salman Rushdie plaide non coupable de tentative de meurtre et d'agression dans un tribunal de Mayville, dans l'Etat de New York. Aug-18,2022 1943J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLDUGROS Manue ParodieDugrosManueMart_Inangel Martin, mon lapin, faut ajouter un C » à NY » New York City sinon on croit que tu parles de l’Etat de New-York. Pour les vélos électriques…en France, on parle de VAE depuis près de 10 ans, je te laisse chercher la signification du A », cela répondra à ta 1847J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLJenndetestelavieMorgane_Stark Demain y’a la conv sh à new york mais l’orga a pas payé l’hôtel pour recevoir les guests. Donc ils ont pas de lieu je viens de voir une actrice qui a décidé de ne pas venir vu l’état de la situation et je pense que c’est loin d’être la 1816J'aime:0 Retweets:0 Tweet URLSoldatLibreLibreSoldat1/2 sera ensuite plus intéressant ... 1 La ville de New York est le 11e État. 2 Il y avait 92 passagers 9+2=11 sur W11. 3. il y avait 65 passagers dans l'avion W77, qui a également fait escale à Gemini 6+5=11. 4. La tragédie a eu lieu le 11 septembre ou 1+1+9=11👇Aug-18,2022 1314J'aime:0 Retweets:0 Tweet URL Etat de New York Twitter ArgentinaAustraliaBrasil CanadaDanmarkDeutschland FranceभारतIndonesia Italiatop'>ประเทศไทยTürkiye
Parolesde la chanson Il Etait Une Fois A New York City par Oliver Et Compagnie Tout commence par "Il était une fois à New York City" C'est une ville dure où tout le monde est
Il était une nouvelle fois New YorkPublié le 11 sept. 2006 à 330New York a su se relever des attentats contre le World Trade Center. Cinq ans après, elle affiche une prospérité florissante. Ses atouts pour s'imposer dans l'économie globalisée attirent de nouveau les multinationales et les projets immobiliers se multiplient qui devraient transformer sa physionomie dans les dix ans à sous les cendresPublié le 11 sept. 2006 à 330FRANÇOISE CROUÏGNEAU09Pour lutter contre le terrorisme, non à la guerre...Publié le 11 sept. 2006 à 330En ce cinquième anniversaire du 11 septembre 2001, jour des attaques d'Al-Qaida aux Etats-Unis, il est temps d'évaluer le bilan de la réponse donnée par les Etats-Unis et la communauté internationale. Les attaques et leur réplique ont évidemment complètement transformé les relations internationales,…09Pourquoi les Etats-Unis se sont trompés de guerrePublié le 11 sept. 2006 à 330JACQUES HUBERT-RODIER09Les deux AmériquesPublié le 11 sept. 2006 à 330LA CHRONIQUE DE FAVILLA09Le nouvel autoritarismePublié le 11 sept. 2006 à 330Cinq ans après les attentats d'Al-Qaida aux Etats-Unis, le 11 septembre n'est plus une date comme une autre. Elle marque le début d'une nouvelle ère, ou en tout cas un virage. Les attentats terroristes à Madrid, à Londres et ailleurs resteront dans les mémoires, mais le 11 septembre demeurera une da…09... oui à l'ouverture politiquePublié le 11 sept. 2006 à 330Le 11 septembre est la date symbole du terrorisme moderne et de son effrayante capacité à tuer et à détruire. Un recul de cinq ans est sans doute trop court pour que les historiens puissent juger pleinement de la signification de cet événement, mais cela permet déjà de dresser un premier bilan. Au m…09Les attentats, révélateurs de l'Amérique profondePublié le 11 sept. 2006 à 330LE LIVRE DU JOUR09Les assureurs ont appris à anticiper le pirePublié le 11 sept. 2006 à 330Les attentats du 11 Septembre ont coûté 34 milliards de dollars aux compagnies d'assurances et de réassurances. Ce choc sans précédent va brusquement les forcer à revenir aux fondements techniques d'une industrie qui avait longtemps vécu sur la hausse des marchés nombre de passagers aux Etats-Unis n'est jamais remonté au niveau de 2001Publié le 11 sept. 2006 à 330Selon Giovanni Bisignani, le directeur général de l'Association du transport aérien international, le secteur paie toujours les conséquences des attentats, malgré les progrès accomplis en matière de sûreté et de croissance pour le tourisme mondialPublié le 11 sept. 2006 à 330La résistance du secteur, qui a repris sa forte croissance, s'explique par l'importance des relations dix ans qui ont fait de PSA Peugeot Citroën un poids lourd européenPublié le 11 sept. 2006 à 330Le président du directoire de PSA a déroulé en dix ans une politique décisive pour le constructeur, donnant sa pleine place à Citroën sans appauvrir Peugeot et créant une véritable culture de groupe. Mais le climat conjoncturel s'est brusquement retourné à partir de 2003, ouvrant une phase fort succession qui s'annonce très ouvertePublié le 11 sept. 2006 à 330Le remplaçant de Jean-Martin Folz sera désigné d'ici à la fin de l'année. Il peut s'agir soit d'un candidat interne, y compris d'un membre de la famille fondatrice, soit d'une personnalité sociale la Cour des comptes juge inévitables de nouvelles réformesPublié le 11 sept. 2006 à 330La Cour des comptes évalue à 37 milliards les besoins de financement en 2009. Dénonçant l' inertie » de l'Etat sur le Fonds social agricole et le Fonds de solidarité vieillesse, elle prône leur suppression afin de ne plus masquer les Il y a davantage de pessimisme économique chez les Américains »Publié le 11 sept. 2006 à 330L'American Enterprise Institute est l'un des grands centres de réflexion think tanks » conservateurs de Washington, considéré généralement comme proche de l'administration Bush. Karlyn Bowman y étudie les grands mouvements de l'opinion américaine. Les Américains se sont-ils re…09En cinq ans, l'image des Etats-Unis dans le monde s'est fortement dégradéePublié le 11 sept. 2006 à 330Entre bourbier irakien et polémique autour de Guantanamo ou des prisons secrètes de la CIA, la cote de Bush s'est effondrée en Europe, mais aussi, désormais, aux marchés financiers ont appris à vivre avec le risque d'attentatPublié le 11 sept. 2006 à 330Dans les heures qui ont suivi la chute des deux tours, les autorités monétaires et boursières ont multiplié les gestes d'apaisement. Permettant d'éviter le krach tant se recueille pour marquer le cinquième anniversaire du 11 septembrePublié le 11 sept. 2006 à 330Les commémorations ont commencé ce week-end avec le déplacement de George W. Bush à New York. Cinq ans après, le pays dresse un bilan mitigé de sa réaction aux attaques terroristes. Si les Américains trouvent de nombreuses raisons de se féliciter, les motifs d'inquiétude ne manquent Peugeot Citroën en quête d'un nouveau patron pour succéder à Jean-Martin FolzPublié le 11 sept. 2006 à 330Jean-Martin Folz a surpris tout le monde, en annonçant son intention de partir à la retraite dès ses soixante ans, en janvier 2007. Décision déjà exposée à huis clos au conseil de surveillance, au début de l'été. Le prochain président du numéro deux automobile européen devrait être désigné à la fin de l'année, pour une prise de fonction au premier semestre de Cegetel veut lever en Bourse près de 1 milliard d'eurosPublié le 11 sept. 2006 à 330L'opérateur devrait introduire à la Bourse de Paris autour de 20 % de son capital dans la deuxième quinzaine d'octobre. L'opération permettra de céder des actions existantes et, pour moins d'un tiers de son volume, de lever des redevient bénéficiaire au premier semestrePublié le 11 sept. 2006 à 330Après plusieurs années de pertes, Neuf Cegetel distribuera en 2007 son premier dividende et promet d'accélérer sa Peugeot Citroën en quête d'un nouveau patron pour succéder à Jean-Martin FolzPublié le 11 sept. 2006 à 330Jean-Martin Folz a surpris tout le monde, en annonçant son intention de partir à la retraite dès ses soixante ans, en janvier 2007. Décision déjà exposée à huis clos au conseil de surveillance, au début de l'été. Le prochain président du numéro deux automobile européen devrait être désigné à la fin de l'année, pour une prise de fonction au premier semestre de dix ans qui ont fait de PSA Peugeot Citroën un poids lourd européen 11/09/06Publié le 11 sept. 2006 à 330Le président du directoire de PSA a déroulé en dix ans une politique décisive pour le constructeur, donnant sa pleine place à Citroën sans appauvrir Peugeot et créant une véritable culture de groupe. Mais le climat conjoncturel s'est brusquement retourné à partir de 2003, ouvrant une phase fort questions épineuses pour le prochain président 11/09/06Publié le 11 sept. 2006 à 330Le prochain président du directoire de PSA devra redresser des comptes financiers qui dévissent, augmenter l'effet de levier financier de quelques modèles à succès et gérer au mieux sa présence hors d' nouvel autoritarismePublié le 11 sept. 2006 à 330Cinq ans après les attentats d'Al-Qaida aux Etats-Unis, le 11 septembre n'est plus une date comme une autre. Elle marque le début d'une nouvelle ère, ou en tout cas un virage. Les attentats terroristes à Madrid, à Londres et ailleurs resteront dans les mémoires, mais le 11 septembre demeurera une da…09Il était une nouvelle fois New YorkPublié le 11 sept. 2006 à 330New York a su se relever des attentats contre le World Trade Center. Cinq ans après, elle affiche une prospérité florissante. Ses atouts pour s'imposer dans l'économie globalisée attirent de nouveau les multinationales et les projets immobiliers se multiplient qui devraient transformer sa physionomie dans les dix ans à lutter contre le terrorisme, non à la guerre...Publié le 11 sept. 2006 à 330En ce cinquième anniversaire du 11 septembre 2001, jour des attaques d'Al-Qaida aux Etats-Unis, il est temps d'évaluer le bilan de la réponse donnée par les Etats-Unis et la communauté internationale. Les attaques et leur réplique ont évidemment complètement transformé les relations internationales,…09Les assureurs ont appris à anticiper le pirePublié le 11 sept. 2006 à 330Les attentats du 11 Septembre ont coûté 34 milliards de dollars aux compagnies d'assurances et de réassurances. Ce choc sans précédent va brusquement les forcer à revenir aux fondements techniques d'une industrie qui avait longtemps vécu sur la hausse des marchés nombre de passagers aux Etats-Unis n'est jamais remonté au niveau de 2001Publié le 11 sept. 2006 à 330Selon Giovanni Bisignani, le directeur général de l'Association du transport aérien international, le secteur paie toujours les conséquences des attentats, malgré les progrès accomplis en matière de sûreté et de croissance pour le tourisme mondialPublié le 11 sept. 2006 à 330La résistance du secteur, qui a repris sa forte croissance, s'explique par l'importance des relations deux AmériquesPublié le 11 sept. 2006 à 330LA CHRONIQUE DE FAVILLA09L'Amérique se recueille pour marquer le cinquième anniversaire du 11 septembrePublié le 11 sept. 2006 à 330Les commémorations ont commencé ce week-end avec le déplacement de George W. Bush à New York. Cinq ans après, le pays dresse un bilan mitigé de sa réaction aux attaques terroristes. Si les Américains trouvent de nombreuses raisons de se féliciter, les motifs d'inquiétude ne manquent sous les cendresPublié le 11 sept. 2006 à 330FRANÇOISE CROUÏGNEAU09Pourquoi les Etats-Unis se sont trompés de guerrePublié le 11 sept. 2006 à 330JACQUES HUBERT-RODIER09Le pays n'est pas à l'abri d'une nouvelle attaquePublié le 11 sept. 2006 à 330Les Américains se sentent un peu plus en sécurité. Mais les experts pointent du doigt les tâtonnements du nouveau ministère de la Sécurité intérieure et les échecs des services de cinq ans, l'image des Etats-Unis dans le monde s'est fortement dégradéePublié le 11 sept. 2006 à 330Entre bourbier irakien et polémique autour de Guantanamo ou des prisons secrètes de la CIA, la cote de Bush s'est effondrée en Europe, mais aussi, désormais, aux boom des dépenses publiques et les baisses d'impôts ont favorisé la reprise à la fin de 2001Publié le 11 sept. 2006 à 330La baisse des impôts conjuguée à celle des taux a permis de soutenir la croissance après les attentats, même si la hausse des dépenses publiques a fait plonger le déficit marchés financiers ont appris à vivre avec le risque d'attentatPublié le 11 sept. 2006 à 330Dans les heures qui ont suivi la chute des deux tours, les autorités monétaires et boursières ont multiplié les gestes d'apaisement. Permettant d'éviter le krach tant se recueille pour marquer le cinquième anniversaire du 11 septembrePublié le 11 sept. 2006 à 330Les commémorations ont commencé ce week-end avec le déplacement de George W. Bush à New York. Cinq ans après, le pays dresse un bilan mitigé de sa réaction aux attaques terroristes. Si les Américains trouvent de nombreuses raisons de se féliciter, les motifs d'inquiétude ne manquent pays n'est pas à l'abri d'une nouvelle attaquePublié le 11 sept. 2006 à 330Les Américains se sentent un peu plus en sécurité. Mais les experts pointent du doigt les tâtonnements du nouveau ministère de la Sécurité intérieure et les échecs des services de cinq ans, l'image des Etats-Unis dans le monde s'est fortement dégradéePublié le 11 sept. 2006 à 330Entre bourbier irakien et polémique autour de Guantanamo ou des prisons secrètes de la CIA, la cote de Bush s'est effondrée en Europe, mais aussi, désormais, aux redevient bénéficiaire au premier semestrePublié le 11 sept. 2006 à 330Après plusieurs années de pertes, Neuf Cegetel distribuera en 2007 son premier dividende et promet d'accélérer sa le 11 sept. 2006 à 101La Banque de France prévoit une progression de la croissance de 0,4 % au troisième trimestre, selon son enquête mensuelle. Cette estimation porte l'acquis de croissance à 2,1 % sur l' Sarkozy change de ton et fait assaut de propositionsPublié le 11 sept. 2006 à 101DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL À BRUXELLES. Autre décor, autre ton. A Agen, dans une région qui avait majoritairement voté non » à la Constitution européenne, Nicolas Sarkozy s'en était pris en des termes assez durs, à la fin du mois de juin, à la politique monétaire de l'Union. A Bruxelles, vendredi, de…09Les contribuables profiteront de la baisse de l'impôt dès le début 2007Publié le 11 sept. 2006 à 101Thierry Breton, ministre de l'Economie, souhaite permettre aux Français de profiter de la baisse de l'impôt sur le revenu dès le début de l'année 2007. La réforme fiscale, qui entrera en vigueur le 1er janvier prochain, doit se traduire par une baisse moyenne de l'impôt de 5 % et une redistribution …09Les entreprises espèrent recruter plus facilement grâce aux cabinets privésPublié le 11 sept. 2006 à 101Le bureau de l'Unedic a donné son feu vert, vendredi, à la prise en charge par des cabinets privés de chômeurs supplémentaires à compter du 1er novembre. Dix-sept entreprises ont été sélectionnées à la suite d'un appel d'offres européen, obligatoire dans le cadre de l'ouverture du marché de l… le 11 sept. 2006 à 101Les pharmaciens perçoivent une indemnité d'astreinte de 75 euros par nuit de garde, selon un arrêté publié samedi au JO ». Les honoraires par ordonnance sont de 6 euros pour le service de garde de nuit et de 4 euros les dimanches et jours sur l'avenir de la CadesPublié le 11 sept. 2006 à 101Les grandes manoeuvres ont commencé autour du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2007, qui sera présenté à la fin du mois. Plusieurs pistes ont été étudiées ce week-end afin de redresser sensiblement les comptes. Le gouvernement a ficelé depuis plusieurs semaines une mesure con…09
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Ça y est vous y êtes ! Depuis le temps que vous rêviez de vous balader à Broadway et d’arpenter les rues de New York. Alors prenez votre temps, et savourez l’ambiance de Broadway, d’une comédie musicale et d’un bon gros être avez-vous prévu d’aller voir une comédie musicale pendant votre séjour ? Pour notre part, franchement nous ne sommes pas du tout fan, par contre on adore la musique et si en plus on peut manger en même temps, alors là c’est le top. Mais que ce soit le cas ou non, nous vous recommandons de vous arrêter absolument manger dans ce restaurant sur comédie musicale et années 60 garanties !Ce genre de restaurant aux Etats Unis s’appelle un Dinerprononcez Daïe-neur. Que ce soit à New York ou ailleurs dans votre trip US, ne faites surtout pas l’impasse sur un donc dans notre Diner sur Broadway, dont la particularité est le show en plus. Vous ne pourrez pas le manquer, il fait un angle de rue et a une devanture typique néons de toutes les couleurs et déco chargée. C’est on ne peut plus discret d’ailleurs qu’est-ce qui est discret à Times Square ?.Pourquoi aller dans ce restaurant sur Broadway en particulier ?Parce que selon nous, c’est LE meilleur Diner avec une ambiance de comédie musicale du ne faut pas rater ça, exactement comme le Moulin Rouge à Paris. Ça ne se raconte pas, ça se principe du restaurantComme je vous le disais juste avant, il s’agit d’un restaurant de type Diner mais avec en plus une ambiance de comédie musicale. Le truc, c’est que ce sont les serveurs et serveuses qui s’occupent de mettre l’ambiance. En fait pour être plus précis, ce sont des chanteurs et chanteuses professionnels qui font le service dans ce nous voilà rassurés sur la qualité des chanteurs !Voici une petite vidéo lors de notre passagePour l’anecdote, grâce à leurs tips » pourboires que les serveurs regroupent, ils se payent des cours spécialisés chant, danse, comédie. Et tous les ans, certains sont recrutés pour les plus grandes comédies musicales 14 personnes en 2011.Et oui si ça se trouve c’est la prochaine Barbara Streisand qui viendra vous servir votre hamburger ? La classe, non ? 😉Quand y aller ?Vous pouvez y aller quand vous voulez, le matin, le midi ou le soir. Si vous ne devez y aller qu’une seule fois, préférez le soir. Tous les serveurs sont présents et l’ambiance est bien plus sympa. Evidemment il y a plus de monde, mais ça vaut le coup. Et puis le restaurant reste ouvert très tard, alors ne vous en faites pas, vous arriverez toujours à trouver une réserver ?Si vous êtes moins de 20 personnes, ce n’est malheureusement pas possible. Ne vous inquiétez pas, au pire vous attendrez une demi-heure debout. Comme il y a de l’ambiance et que vous attendez dans l’entrée, vous ne vous ennuierez pas. Evitez tout de même d’y aller immédiatement après la fin d’une comédie musicale ou d’un spectacle. Même s’il y a de l’attente, vous profiterez du spectacle 100% BroadwayEst-ce qu’on y mange bien ?Pour les repas c’est un peu comme pour l’ambiance. On a certainement tous des points de vue différents. Tous les deux, on n’a pas l’habitude d’être difficiles, surtout en voyage. Et on sait pertinemment que souvent, dans un lieu touristique et dans ce genre de restaurant où il y a beaucoup de monde , on ne va pas se même temps ce n’est pas ce qu’on demande à ce genre de restaurant. Mais honnêtement, si en effet les hamburgers ne sont pas les meilleurs que l’on ait mangé, ils étaient tout de même très dessert était une vraiment excellent par contre je ne sais plus ce que c’était exactement, mais il y avait de la glace et du chocolat.
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