Samedi11 juin, une marche blanche sera organisée pour Audrey Clément, 34 ans, et sa fille Albane, 5 ans. Elles ont été tuées dans leur maison à
Un rassemblement des personnes LGBT+ autour d’un goûter était organisé, mercredi 29 juin, à Chalon-sur-Saône. L’occasion de sensibiliser aux droits des personnes homosexuelles et transgenres mais aussi de redynamiser le tissu associatif dans la région, jusque-là endormi. Sur les gâteaux et sur les affiches disposées autour des tables les couleurs du drapeau arc-en-ciel rayonnent, au parc Georges Nouelle à Chalon-sur-Saône, mercredi 29 juin. Une trentaine de personnes s’y sont rassemblées pour un goûter afin de sensibiliser à la cause LGBT+ lesbiennes, bisexuelles, gaies et transgenres. L’occasion aussi d’en apprendre plus sur l’histoire des droits des personnes homosexuelles et transgenres. "Quand est ce que l’homosexualité a été dépénalisée ?, questionne Tarja, une militante du planning familial de Chalon, qui organise un quizz sur l’histoire de la communauté. 1982… Malheureusement, c’est très tard". "Je pense très sincèrement que nos droits sont assez fragiles, réagit-elle. Le droit au mariage pour toutes et tous, le droit à la PMA…Ça peut très vite ne plus exister. C’est pour ça qu’il faut se battre pour garder nos droits et en acquérir de nouveaux". Autour de la table, ce sont principalement des militants du Planning familial de Chalon-sur-Saône et de Rainbow71, la seule association LGBT+ en Bourgogne. Parmi eux, Adama Barro, un jeune Burkinabé de 29 ans, arrivé en France en janvier dernier. Il a dû fuir son pays d’origine car l’homosexualité y est réprimée "Là-bas, soit tu subis des menaces de mort, soit on te frappe, soit on te persécute. T’es obligé de vivre en cachette, tu n’as pas le droit de t’afficher." "Dieu merci j’ai trouvé refuge à Chalon. Grâce à l’association Rainbow71, je vis ma sexualité tranquillement", ajoute-t-il. Pourtant son combat n’est pas fini. Sa première demande d’asile a été refusée par l’OFPRA Office français de protection des réfugiés et apatrides mais il espère toujours obtenir le statut de réfugié. "J’ai besoin de ces papiers pour pouvoir vivre ma vie d’homosexuel tranquillement, en sécurité." Comme avec Adama, l’association Rainbow71 espère aider davantage de personnes homosexuelles et transgenres. "L’idée c’est qu’on soit plus visibles au niveau de la Saône-et-Loire mais aussi de la Bourgogne. Il y a un vrai manque de représentativité des personnes LGBT+ dans la région", regrette Sébastien Florin qui a repris la présidence de l’association en janvier dernier. Jusqu’à présent inactive, Rainbow71 compte une quinzaine de membres. Désormais, elle souhaite mobiliser, sensibiliser davantage de jeunes. "On a tous entre 40 et 50 ans, c’est compliqué de porter notre parole auprès des jeunes et de les pousser à s’inscrire dans une démarche de bénévoles", explique-t-il. Pour cela, l’association entend à l’avenir intervenir dans les collèges et les lycées du département afin de faire de la prévention mais aussi montrer qu’elle existe.
ChalonSur Saône. jeu. 25/08/2022 . Lire le journal à la Première ministre Elisabeth Borne et aux ministères de la Justice et des Affaires étrangères, dénonçant la « situation
l'essentiel Le maire de Chalon-sur-Saône, en Saône-et-Loire, a signé un arrêté autorisant l'événement du 5 au 14 mars, alors que sa tenue avait été interdite par la préfecture en février. Gilles Platret, maire de Chalon-sur-Saône Saône-et-Loire et chef de file LR aux régionales en Bourgogne-Franche-Comté, a autorisé ce lundi 1er mars la tenue de la traditionnelle fête foraine dans sa ville, défiant une interdiction préfectorale. "La Ville de Chalon a estimé que les conditions sanitaires sont désormais réunies et c'est pourquoi, ce lundi matin, Gilles Platret a signé un arrêté autorisant la fête foraine du 5 au 14 mars", indique la mairie dans un communiqué. La préfecture a peu après annoncé qu'elle avait saisi le tribunal administratif de Dijon d'une demande d'annulation et de suspension de l'arrêté municipal. "Cet arrêté apparaît en contradiction avec le décret du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures pour faire face à l'épidémie de Covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire. En effet, le décret prévoit expressément l'interdiction des fêtes foraines article 45", explique la préfecture dans un communiqué. "Lutter contre la crise psychologique lourde" Début février, Gilles Platret avait déjà menacé de "ne pas en rester là" quand la préfecture de Saône-et-Loire avait signifié l'interdiction de la traditionnelle fête foraine "sans aucune concertation", selon l'élu. "Je ne sais pas quand ce naufrage de l'Etat va prendre fin. Mais c'est une situation intolérable", avait-il réagi, assurant que, pour lui, la fête foraine n'était "pas annulée". Selon le maire, l'arrêté signé lundi est fondé "sur deux nécessités complémentaires celle de lutter contre la crise épidémique par des mesures appropriées que les forains sont tout à fait disposés à prendre, mais aussi la nécessité de lutter contre la crise psychologique lourde qui est la conséquence tout à la fois de la crise épidémique et des mesures de restriction des libertés qui l'ont accompagnée". Connu pour son franc-parler Gilles Platret estime de plus que "l'état du droit et de la jurisprudence, avec la volonté gouvernementale de territorialiser les mesures en vigueur, ouvre à nos yeux la possibilité de permettre cette fête foraine". Connu pour son franc-parler et sa défiance envers l'actuel gouvernement, Gilles Platret avait déjà autorisé, fin octobre, l'ouverture des commerces non-alimentaires dans sa ville, bravant ainsi leur fermeture décrétée au niveau national. L'arrêté municipal avait été retoqué par la justice. Chalon se targue d'être la "seule ville en France" à avoir fait des forains des "citoyens d'honneur". "Le préfet, conscient des difficultés rencontrées par les forains concernés par les mesures de restrictions de leur activité, rappelle que l'État a mis en place un dispositif de soutien destiné à les aider à traverser la crise sanitaire", a précisé la préfecture.
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Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et l'une des dix femmes les plus puissantes du monde, se rend à partir de ce vendredi 26 août à Taizé, en Saône-et-Loire, à l'occasion des rencontres internationales. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, se rend à cet évènement essentiellement à titre privé. Dès l'après-midi du 26 août, elle rencontre des jeunes de la communauté de Taizé. Après deux années de pandémie, les rencontres internationales ont repris leur cours à Taizé, en Saône-et-Loire. Depuis Pâques, ce sont plus de 20 000 jeunes qui sont venus participer semaine après semaine aux prières communes et aux ateliers de réflexion. Ces rencontres seront marquées, ce week-end, par la visite d'Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne. Elle arrive ce vendredi 26 août, avant de rencontrer la communauté, samedi 27, et dialoguer avec les jeunes présents à Taizé, notamment sur les questions environnementales. Cette venue est le fruit d’une amitié forte entre la communauté œcuménique de Taizé et un député européen écologiste Philippe Lamberts. "Il vient souvent dans notre commune, il connaît très bien Taizé", explique Frère Émile, l'un des membres de la communauté de Taizé. Cet amour pour la commune, le député Vert l’a transmis à Ursula von der Leyen. Il lui a conseillé de s’y rendre. "Sa venue est une jolie histoire", raconte Frère Émile. La présidente se déplace à l’occasion de la semaine spécifique pour les jeunes adultes de 18 à 35 ans, où des débats sur la biodiversité seront mis sur le devant de la scène. "Il est important que les jeunes aient aussi confiance envers les institutions", précise Frère Émile. Pour y assister, tous ceux qui viendront de l’extérieur devront s’inscrire au préalable via le formulaire en ligne accessible ici.
Pourles inscriptions aux activités périscolaires (restauration, garderie, mercredis) et extrascolaires (vacances) ou pour la mise à jour de votre dossier, merci de prendre rendez-vous en ligne avec la Maison de quartier de votre choix.
Le procureur de Chalon-sur-Saône a tenu ce matin une conférence de presse après le meurtre dimanche soir d'une mère et sa fille ainsi que d'une troisième femme. Le suspect, Jonathan Cune, s'est vraisemblablement suicidé en sautant d'un viaduc en Haute-Savoie. Trois meurtres, deux scènes de crime, et un suspect retrouvé mort au pied d'un viaduc surnommé le "pont des suicides" à plus de 200 km de là. Que s'est-il passé, ce dimanche 8 mai, dans le Chalonnais ? Le procureur de Chalon-sur-Saône a fait le point sur l'enquête ce matin au tribunal judiciaire de Chalon. France 3 Bourgogne a suivi cette conférence de presse. Patrice Guigon, procureur de la République de Chalon-sur-Saône, indique que les trois décès sont "très probablement" imputables à Jonathan Cune, 38 ans, "le seul suspect de ces trois homicides". "Nous voulons apporter le plus de réponses possibles aux familles des victimes, étant donné que Jonathan Cune ne pourra pas répondre devant la justice de ces trois homicides." Les investigations doivent se poursuivre pendant quelques semaines. Elles sont menées par la section de recherches de Dijon. Les autopsies des trois victimes seront effectuées à l'institut médico-légal de Dijon l'une a commencé ce mardi matin, les deux autres auront lieu dans la journée de mercredi. Jonathan Cune, lui, est autopsié ce mardi à l'institut médico-légal de Grenoble. Selon le procureur de Chalon-sur-Saône, c'est d'abord le corps de Sarah Goujon, secrétaire administrative à l'auto-école tenue par Jonathan Cune, qui a été retrouvé dimanche sur le parking de la zone commerciale Californie à Saint-Rémy. Ensuite, les enquêteurs ont découvert à Gergy les corps d'Audrey Clément, 33 ans, technicienne de laboratoire au centre hospitalier de Chalon-sur-Saône, et d'Albane Cune, cinq ans, la fille d'Audrey Clément et de Jonathan Cune. Mais ce sont bien l'ex-compagne et la fille du suspect qui ont été tuées en premier, "probablement en fin d'après-midi, entre 17 et 19 heures" selon Patrice Guignon. "Jonathan Cune a commencé son périple meurtrier à Gergy et l'a terminé en Haute-Savoie, sur ce pont où il s'est donné la mort", indique le procureur. On sait que c'est un couteau qui a été utilisé pour les trois meurtres, "plutôt de type poignard que couteau de cuisine", selon Patrice Guigon. Ce couteau maculé de sang a été retrouvé sous le corps de Sarah Goujon dans sa voiture. La trentenaire semble avoir été atteinte d'un seul coup de couteau. Audrey Clément et sa fille ont été retrouvées dans le hall d'entrée de la maison de Gergy, toutes deux atteintes de "plusieurs plaies". Les secours ont d'abord été appelés, dimanche soir, par le compagnon de Sarah Goujon, inquiet de ne pas la voir revenir. Il sait qu'elle avait rendez-vous sur le parking de la zone Californie avec Jonathan Cune, et transmet ces informations à la police qui se rend sur place et découvre la jeune femme dans sa voiture, mortellement blessée. De leur côté, un peu plus tard, les parents d'Audrey Clément appellent la gendarmerie car Audrey, séparée depuis quelques mois de Jonathan, devait récupérer la petite Albane qui venait de passer le dimanche chez son père, dans la maison de Gergy où il continuait d'habiter. Audrey était retournée vivre près de sa famille, non loin de Beaune. C'est en recevant cette seconde alerte qu'un officier affecté au centre téléphonique de la gendarmerie fait le rapprochement entre les deux affaires le nom de Jonathan Cune apparaît dans les deux affaires. Les forces de l'ordre décident alors de mettre en place un dispositif conséquent pour se rendre à Gergy RAID et BAC brigade anticriminalité. Sur place, ils défoncent la porte et découvrent les corps de la jeune mère et de sa fille. Jonathan Cune, lui, est immédiatement placé sur la liste des personnes recherchées. Son profil est transmis à Europol. Rapidement, les gendarmes de Haute-Savoie localisent sa voiture au niveau du viaduc du pont de la Caille. Mais il fait nuit à ce moment-là le PGHM peloton de gendarmerie de haute-montagne doit attendre la levée du jour pour procéder aux recherches en contrebas. C'est au matin que les enquêteurs localisent le corps, qui sera identifié rapidement comme étant celui de Jonathan Cune. Le gérant d'auto-école était séparé depuis quelques mois d'Audrey Clément, la mère de sa fille. Celle-ci avait déposé plainte contre lui le 26 mars dernier "pour un vol de documents d'identité". Mais les enquêteurs ont aussi retrouvé la trace d'un précédent de violences conjugales au sein de ce couple Jonathan Cune n'a pas été condamné, mais a fait l'objet d'une mesure alternative aux poursuites pour des faits datant du 6 octobre 2019 contre Audrey Clément, qui était déjà sa compagne à l'époque. "Audrey Clément n'avait pas souhaité déposer plainte, mais Jonathan Cune a été entendu et a dû suivre un stage de sensibilisation aux violences conjugales, les 23 et 24 juin 2020. La procédure a été classée sans suite" Patrice GuigonProcureur de la République de Chalon-sur-Saône Ce dossier, traité à l'époque par la brigade de gendarmerie de Verdun-sur-le-Doubs, concernait une "bousculade" qui avait eu lieu alors que les parents d'Audrey Clément étaient invités à dîner chez le couple. Jonathan Cune a également deux condamnations qui remontent à 2009, pour des faits qui ne relèvent pas de violences conjugales et pour lesquels l'homme a été réhabilité, c'est-à-dire qu'il a purgé sa condamnation. "Lui seul peut y répondre, mais il avait des attaches amicales dans la région, et avait effectué un séjour près du Pont de la Caille il y a environ un an. Après, est-ce qu'il avait d'autres intentions de partir vers l'étranger éventuellement, ça, on ne le sait pas", indique le procureur. D'autres éléments sont en cours d'exploitation les données téléphoniques notamment, pour savoir quelles étaient les relations entre les uns et les autres et savoir si Jonathan Cune a prévenu quelqu'un de ses intentions. Les investigations portent notamment sur l'environnement familial et amical des quatre personnes impliquées pour savoir quelles étaient les relations entre les uns et les autres. Pour l'heure, les enquêteurs ont mis en évidence que les trois victimes se connaissaient. "Audrey Clément connaissait Sarah Goujon, elles étaient parfois en contact. Il y a pu avoir des relations amicales entre le couple et Sarah Goujon. Il y a des échanges téléphoniques ou par messages entre eux", précise le procureur. Quant à l'existence d'un possible liaison entre Jonathan Cune et Sarah Goujon, "rien ne l'établit formellement" à ce stade. Dans la nuit de dimanche à lundi, les forces de l'ordre retrouvent les corps d'une mère et sa fillette dans leur maison de Gergy, ainsi que le corps d'une troisième femme, tuée sur le parking de la zone commerciale Californie à Saint-Rémy. Rapidement, les enquêteurs relient les deux affaires et s'orientent vers un suspect l'ex-conjoint de la mère de la fillette, avec qui il s'était récemment séparé. La troisième victime était une collaboratrice du suspect. Âgée d'une trentaine d'années, elle travaillait comme secrétaire administrative dans l'auto-école dont il était le gérant. Le suspect de 38 ans est identifié dans l'après-midi il a été retrouvé mort par les gendarmes de Haute-Savoie, au pied d'un haut viaduc, le Pont de la Caille, connu pour être un lieu de suicides. ► À lire aussi Triple homicide près de Chalon-sur-Saône le suspect aurait tué son ex et sa fille, puis sa collègue de travail, avant de se suicider
MaisonDe Justice Et Du Droit. Adresse : 4, Rue Emiland Menand, 71100 Chalon-sur-Saône. Boîte postale: BP 000. Téléphone: 03 85 90 87 80. Fax: 03 85 90 87 99.
Publié le 09/05/2022 à 1112, Mis à jour le 10/05/2022 à 1254 Le suspect entretenait une liaison avec sa secrétaire. Il s'était récemment séparé de sa compagne avec qui il avait un enfant âgé de cinq ans. Un homme de 38 ans, Jonathan C., était recherché après la découverte de sa femme, de sa secrétaire et de sa fillette de cinq ans, tuées à coups de couteau, en Saône-et-Loire son cadavre a été retrouvé lundi 9 mai en lire aussiL’inquiétante explosion des tentatives d’homicideDimanche, les secours sont appelés après la découverte d'une femme d'une trentaine d'années égorgée, qui se vide de son sang sur le parking d'une zone commerciale à Saint-Rémy, commune limitrophe de Chalon-sur-Saône. Elle décède peu de temps après. Âgée d'une trentaine d'années selon France 3 Bourgogne-Franche-Comté, elle était secrétaire dans une auto-école à la découverte de la victime, les enquêteurs se rendent au domicile de son patron, à Gergy, à une quinzaine de kilomètres de Chalon. Au milieu de la nuit, ils y découvrent les corps de sa femme, également trentenaire, et de sa fillette de cinq ans. Toutes deux ont été liaison secrèteLe parquet de Chalon confirme alors qu'il y a vraisemblablement» un lien entre les deux découvertes, l'auteur présumé ayant un lien familial» avec la mère et l'enfant, mais également un lien professionnel» avec la première victime, retrouvée sur le parking. Les recherches sont alors lancées pour retrouver le suspect. De sources proches du dossier, on précise que ce dernier entretenait une liaison avec sa secrétaire, qu'il s'était séparé de sa femme en février et que le couple devait divorcer prochainement - la seconde après un premier mariage -. Ensemble, ils ont eu une fillette, alors âgée de cinq rapprochement est ensuite rapidement établi par les enquêteurs avec un véhicule retrouvé dimanche soir sur le parking du pont de la Caille, en Haute-Savoie. Surnommé le pont aux suicides», cet édifice suspendu de près de 150 mètres de haut est situé entre Allonzier-la-Caille et Cruseilles. Une fouille est alors lancée dans les gorges en contrebas, dans lesquelles plongent une quinzaine de suicidés par an. Lundi matin, le corps d'un individu susceptible d'être celui de l'auteur des faits est découvert en contrebas de ce pont», a indiqué à l'AFP le procureur de la République de Thonon-les-Bains, Bruno Badré. Des investigations et des vérifications sont en cours afin de pouvoir l'identifier formellement», a-t-il lire aussiL’immense solitude» des familles et des enfants de victimes de violences conjugalesLa section de recherches de la gendarmerie de Dijon est chargée de l'enquête. Des autopsies des quatre corps doivent avoir lieu ce mardi. Durant une conférence de presse ce mardi matin, le procureur de la République de Chalon, Patrice Guigon, a fait savoir que l'homme avait déjà des antécédents judiciaires en mars dernier, sa compagne avait porté plainte pour un vol de document d'identité». En octobre, il avait également fait l'objet d'une procédure pour violences conjugales, mais avait bénéficié d'une mesure alternative aux poursuites, à savoir un stage de citoyenneté, sa compagne ne souhaitant pas déposer plainte. Nous voulons apporter le plus de réponses possibles aux familles des victimes, étant donné que Jonathan C. ne pourra pas répondre devant la justice de ces trois homicides», a conclu le magistrat à l’issue de sa prise de VOIR AUSSI - Ivry-sur-Seine une femme retrouvée morte dans le garage d'un pavillon
Lescorps de deux femmes et d'une fillette, victimes d'un homicide, ont été retrouvés dans la nuit de dimanche à lundi près de Chalon-sur-Saône. Selon le
Les corps de deux femmes et d'une fillette, victimes d'un homicide, ont été retrouvés dans la nuit de dimanche à lundi près de Chalon-sur-Saône Saône-et-Loire, a indiqué le parquet, précisant que l'auteur présumé est activement trois victimes ont été retrouvées à Saint-Rémy et Gergy Saône-et-Loire, près de Chalon, a ajouté le parquet, sans donner ni l'âge ni l'identité des personnes dépouille d'une femme a d'abord été retrouvée peu avant minuit sur le parking d'une zone commerciale à Saint-Rémy, puis celles d'une mère et de sa fillette dans une maison à Gergy, toujours proche de y a vraisemblablement un lien entre les deux découvertes, selon le parquet, l'auteur présumé ayant un lien familial avec la mère et l'enfant, mais également un lien professionnel avec la première victime, retrouvée sur un conférence de presse devrait être organisée ultérieurement.
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